Par Guilhem de Tarlé
A l’affiche : Le chant du loup, un film français d’Antonin Baudry, avec François Civil (Chanteraide – dit « Chaussette » – l’ « oreille d’or »), Mathieu Kassovitz (l’Alfost, Amiral commandant les Forces Océaniques Stratégiques), Reda Kateb (Grandchamp, Commandant de L’Effroyable, Sous-marin Nucléaire Lanceur d’Engins ou SNLE, ), Omar Sy (d’Orsi, Commandant du Titane, Sous-marin Nucléaire d’Attaque ou SNA) et Paula Beer (Diane).
« Une fiction passionnante qui met à l’honneur la Royale »
La publicité du Chant du loup est ainsi faite que j’en avais retenu le seul nom d’Omar Sy, et je ne m’étais pas intéressé à son côté animalier.
Or, si j’aime bien les bêtes, et mon épouse davantage encore, l’« intouchable » Omar Sy m’insupporte et je craignais un scénario autour de lui, une mise en scène de l’acteur, raison d’être exclusive de la réalisation ; peu m’importait d’ailleurs de savoir quel rôle il y jouait du loup ou du chanteur.
Pourquoi l’avoir ainsi mis en avant quand le casting est ce qu’il est ?
La plaisanterie est triviale de dire dans l’armée qu’avant d’obéir à un ordre il faut attendre le contrordre pour éviter le désordre…
C’est tout le sujet du film.
Une fiction passionnante qui met à l’honneur la Royale et la force dissuasive nucléaire française en cas de crise internationale grave. ■