Noël Mamère n’aime pas Nicolas Sarkozy; il n’aime pas non plus Cécilia. C’est son droit le plus strict. On a eu cependant du mal à comprendre le sens de son intervention sur LCI, le jour de la libération des infirmières bulgares.
Il est apparu la mine plus renfrognée encore que d’habitude (mais pourquoi donc adopte-t-il si souvent cet air courroucé et fulminant ?…), et s’est lancé dans une virulente critique de l’action de Cécilia Sarkozy: il a reproché au Président d’avoir fait de son épouse « un ministre des Affaires Étrangères de substitution »; mais, surtout, le plus grave pour lui c’est que Cécilia « n’a pas reçu l’onction du suffrage universel ! ».
Mais qu’est-ce que le suffrage universel vient faire là dedans ? Il serait aberrant de ne réserver qu’aux seuls élus les missions de bon offices et la bonne volonté ! Quelle mouche l’a donc piqué pour réagir ainsi ? Et d’une façon qui se voulait peut être ironique et mordante, mais au final tellement vindicative que la haine n’était pas loin de déformer les traits de son visage !…
Il faudraitt qu’il apprenne à se calmer, et à maîtriser ses nerfs. En fait Noël Mamère n’est pas beau joueur : plutôt que de se réjouir de ce qui est -qu’on le veuille ou non- un succès, il préfère prendre les choses par le mauvais bout de la lorgnette, et mettre la (mesquine) politique politicienne là où elle n’est pas. C’est nul…
Cording1 sur Ce crime impuni, contre l’honneur paysan
“Le monde paysan selon Gustave Thibon est mort depuis longtemps. Les paysans sont plus entrepreneurs de…”