Rien n’arrête RESF: le drame humain vécu par une famille russo-tchétchéne à Amiens (1) n’est pas un drame qui devrait ouvrir les yeux sur la folie de leur action, pour ces tenants de l’agit-prop, qui ont trouvé dans l’immigration le moyen de dynamiter une société française qu’ils veulent disloquer d’abord, afin d’en créer une autre, conforme à leurs vues idéologiques; les souffrances du petit Ivan, le désarroi de ses parents devraient ramener à la raison les plus aveugles; ce drame devrait faire cesser ce « jeu » fou et cruel, cette impasse, qui consiste -pour de bas et obscurs calculs idéologiques- à mentir à des étrangers malheureux, certes, chez eux, en leur faisant croire qu’ils pourront trouver chez nous ce qu’ils n’y trouveront pas (logement, travail , salaire); à les pousser à venir grossir les flots d’une masse miséreuse qui, à peine arrivée, est embringuée dans la spirale infernale dégradante pour eux, déshonorante pour nous, d’une paupérisation aggravée, d’une clochardisation irrémédiable, dans laquelle nul ne trouve son compte: ni eux, qui sont traités comme du bétail, comme des esclaves; ni nous dont la société déjà confrontée à de lourds problèmes est ainsi tirée vers le bas.
Non, le drame d’Amiens n’ouvrira pas les yeux de ces énergumènes de RESF: ils ont des oreilles pour entendre, et ils n’entendent pas; ils ont des yeux pour voir et ils ne voient pas; tout simplement parce qu’ils savent très bien ce qu’ils font: ils veulent casser la société; l’immigration sauvage et incontrôlée est pour eux un paravent, un prétexte , un moyen (sordide et répugnant) pour arriver à leurs fins; ils se fichent bien pas mal qu’après avoir été imposés à un pays qui ne peut ni ne veut les recevoir, ces immigrés brûlent dans des hôtels vétustes où ils s’entassent à plus de 100 alors que, neufs, ils ne devraient même pas en contenir le tiers! ou que les filles soient livrées à la prostitution; que les mafias de tous ordres prospèrent sur cette masse humaine misérable, taillable et corvéable à merci pour ces mafias.
Ce que fait RESF est ignoble: nous l’avons déjà dit et nous le redirons sans cesse; nous le redisons aujourtd’hui, que cette lamentable affaire d’Amiiens est au contraire prétexte à une escalade dans la surenchère: jouant sans vergogne de la corde sensible, et tâchant de tirer des larmes aux gens à partir du malheur de cette famille, l’association trotskiste réclame ni plus ni moins que l’arrêt de la recherche des hors la loi (qu’elle persiste à appeler des « sans-papiers), l’arrêt de leur expulsion et leur régularisation massive! RESF ferait mieux d’arrêter son jeu criminel et de sortir de l’impasse où elle se fourvoie et où elle fourvoie les malheureux qu’elle manipule d’une façon répugnante; RESF ferait mieux de considérer lucidement ses responsabilités, sa faute et, disons-le, son crime dans cette triste affaire……
(1) rappelons brièvement les faits: le jeudi 9 août, la police sonnant à sa porte, un père de famille commet la folie de s’enfuir par les balcons; son fils Ivan, 12 ans, le suit, et tombe du quatrième étage. Où va-t-on si tout citoyen que la police vient contrôler s’enfuit? il n’y a tout simplement plus de vie en société possible! RESF veut-il que l’on supprime la police et la gendarmerie? qu’il le dise!….
PS: au fait, comment se fait-il que des hors la loi puissent bénéficier de logements en HLM alors que tant d’étudiants « galèrent » pour trouver une chambre de bonne, quand ils la trouvent, et au prix où ils la trouvent? dans quel régime-pétaudière vivons-nous?…..
Je pense que beaucoup comme moi ont réalisés que la venue de ces pauvres, était nécessaire pour nourrir si l’on peut dire les personnels des différentes associations dites humanitaires ou caritatives. Il n’y a pas de petits profits !. Et de plus cela permet d’implanter des réseaux politiques, de gauche bien sûr.
Le circuit est très bien organisé. Une famille qui était partie du mali le jeudi. pouvait dès le lundi suivant amener ses enfants à l’école. Ilsl avaient pris possesion d’un appartement le samedi (logement meublé s’il vous plait, il y avait même des vêtement dans les armoires. Pendant ce temps nous nous cassions la tête pour savoir comment nous allions payés la chambre d’étudiant à notre fils (dans le même quartier de cette ville) Toute l’année le père de famille n’a rien fait de ces dix doigts.