Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des « français de plastique »entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d’une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu’ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire….
4°) les onze tunisiens, la plupart originaires de Golaa (le clan des soeurs Galaoui, le clan des frères Jedid), qui ont organisé une véritable « usine à mariage bidons », et qui ont été jugés à partir du 26 Septembre à Meaux. Ils ont reconnu des enfants qui n’étaient pas les leurs afin d’accélérer leur régularisation (c’est là qu’on voit tout l’intérêt des tests ADN de paternité, évidemment refusés par le « parti immigrationniste » !…). A peine le mariage prononcé, et les papiers obtenus, ces tunisiens fraudeurs, menteurs et escrocs, divorçaient et demandaient le regroupement familial avec leur famille restée au pays ! Il ne s’agit évidemment plus de charité, de générosité ou de solidarité mais bien de truanderie pure et simple !
Ils sont venus chez nous simplement pour vivre d’allocs à nos crochets, « se faire du fric » à bon compte et bénéficier de la CMU après l’AME: si « on »veut vraiment que les 62 millions de français donnent l’intégralité de leur salaire et vendent la totalité de leurs biens pour tout donner à un fond de soulagement de la misère dans le monde; et si « on » croit vraiment que cela suffira, alors qu« on » le dise carrément; sinon, à trop charger la barque, elle finira par couler; la république-foutoir, à force de tout couvrir et tout tolérer, et les associations comme RESF, qui organisent au quotidien la truanderie de ces escrocs venus du monde entier, favorisent et parrainent en réalité le gangrènement de la société française par tous les escrocs de la terre, qu’ils ont rebaptisé « sans-papiers »….
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”