le prix citron: à Ségolène Royal qui, une fois de plus se contredit et se couvre de ridicule….
Après avoir dans un premier temps déclaré que l’idée de Sarkozy « allait dans le bon sens », l’ex candidate socialiste à l’élection présidentielle a, une fois de plus, changé d’avis.
Elle a donc qualifié la décision du président Nicolas Sarkozy de « confier la mémoire » d’un enfant français victime de la Shoah à chaque élève de CM2, d’« annonce improvisée » qui traduit une « étonnante légèreté » (!). Elle a estimé que « le devoir de mémoire des crimes contre l’humanité est un impératif moral qui ne tolère aucune instrumentalisation ». Un peu grandiloquent, non?….
Entre ces revirements et les choses qu’elle affirme pour ensuite dire qu’elle n’y croyait pas, on est encore bien gentil de l’écouter parler….
le prix orange: à Régis Debray qui, sur le même sujet, fait preuve à l’inverse d’un autre sérieux dans la réflexion ….
S’il trouve « l’idée belle en soi », il la juge néanmoins « déplacée car plus émotionnelle que pédagogique ». « Ce ne peut pas être une obligation scolaire », a-t-il déclaré le vendredi 15 février à France-Inter en soulignant que ce qu’il « craint surtout, c’est une escalade des mémoires communautaires ».
« Qui empêchera la communauté noire de réclamer une commémoration de la mémoire de l’esclavage? Puis les Arméniens, les Maghrébins? » Pour Régis Debray, auteur en 2002 d’un rapport au ministre de l’Éducation nationale sur l’enseignement du fait religieux dans l’école laïque, « l’idée de la laïcité implique un devoir d’abstention de la part de la puissance publique ».
Nous aurions dit quant à nous « non hostilité » à l’égard des religions, à fortiori – pour des raisons historiques évidentes- lorsqu’il s’agit du christianisme…
Henri sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“D’abord nous remercions chaleureusement le Prince Jean de ses vœux pour notre pays et de répondre…”