Lu dans le blog d’Ivan Rioufol : « Tous les peuples sont attachés à leur histoire et à leur mode de vie. Pourquoi serait-il honteux de défendre une identité française, qui mériterait néanmoins d’être préalablement définie ?…
… »Il est potentiellement explosif de vouloir jouer avec un métissage culturel qui peut être vécu comme une spoliation, voire une violence. Ce que rappelle ces jours-ci, cinq mois avant les Jeux olympiques de Pékin, l’insurrection des jeunes moines tibétains. Ils reprochent aux Chinois de favoriser une immigration de substitution aboutissant à un « génocide culturel »…
Rioufol pose une bonne question; et puisqu’il émet une réserve (définir au préalable l’identité française, reserve parfaitement recevable au demeurant…) nous proposons comme définition celle qu’a donné de Gaulle. Et qui peut facilement, nous semble-t-il, faire l’unanimité :
« Il ne faut pas se payer de mots. C’est très bien qu’il y ait des français jaunes, des français noirs, des français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes avant tout un Peuple européen, de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. »
Cording1 sur Ce crime impuni, contre l’honneur paysan
“Le monde paysan selon Gustave Thibon est mort depuis longtemps. Les paysans sont plus entrepreneurs de…”