Il y a peu, nous évoquions cette occupation des locaux de la CGT par des hors-la-loi; cela avait un côté un peu rigolo, d’où le titre de la note: « tragi-comédie… ».
Cette fois-ci, ce n’est plus rigolo du tout, c’est même sordide et purement tragique. Le quotidien La Provence nous apprend que onze hors la loi ont déposé plainte, le 22 mars, contre Aminata Diouf, présidente locale du Collectif des sans-papiers (expression trotskiste pour dire « hors la loi »)…
Mise en examen pour escroquerie, elle leur avait promis la régularisation, en échange d’une adhésion à la CGT. Résultat: l’un a servi de chauffeur particulier, l’autre de secrétaire pendant 22 mois, certains ont donné de l’argent en liquide, d’autres des bijoux, des cadeaux, une TV. Sordide, on vous dit…
Or les plaignants sont formels: la-dite Aminata n’a rien fait pour eux (du moins rien d’autre que d’empocher le fric…). « On a escroqué des petites gens, c’est pas beau », dit l’un des plaignants. La défense d’Aminata ? Affirmer que les plaignants ont agi spontanément et pour rendre service !… Ou l’on voit que les exploiteurs font comme les violeurs, et affirment que la victime était consentante !… Plus sordide que « ça », tu meurs !…
On ne cesse de le répéter: la folle politique d’immigration aboutit très souvent, trop souvent, à déplacer la misère, et pas à la régler… Elle aboutit aussi très souvent, trop souvent, à fournir du bétail aux exploiteurs: Besancenot et les membres du parti immigrationniste gaucho-bobo-trotsko feraient bien d’y réfléchir…..
c’est tout de même incroyable de voir ces gens, je parle des bobos troskos traiter ceux qui s’élèvent contre l’immigration de fasciste alors que qu’il ne s’agit de leur part que de regarder la réalité en face. Faire venir la misère du monde ici, dans un pays dévasté, où la misère s’installe très vite, ne peut que transformer ces misèreux en esclave.
Et il semble bien que les premiers esclavagistes sont à chercher parmi dans les rangs des troskos.