« Le coût réel de l’immigration en France » est une étude publiée par Contribuables Associés, et réalisée par Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines, spécialiste des migrations.
Il compare les dépenses annuelles que l’Etat consent pour les immigrés (71,76 milliards d’euros) avec les recettes qu’il encaisse de leur part (45,57 milliards d’euros), soit un solde négatif de plus de 26 milliards.
Enfin, il évalue les investissements engagés par l’Etat pour contenir les flux migratoires ou faciliter l’intégration des immigrés et de leurs enfants (10,81 milliards d’euros).
Au terme de cette analyse, il présente les solutions qui permettraient de réduire les coûts de l’immigration.
Contribuables Associés présente ses chiffres et son analyse: le sujet ne mériterait-il pas un audit officiel ?…..
LE PRIX DE L’IMMIGRATION. UNE POLITIQUE DEFICITAIRE.
La question du coût de l’immigration dérange et peut être parfois considérée comme provocante. Elle n’en demeure pas moins fondamentale et nécessaire pour mener une politique migratoire équilibrée et lutter ainsi contre toute forme de racisme et de xénophobie dont les immigrés peuvent être les victimes.
Ces derniers seraient environ 6,8 millions dans notre pays, soit 11% de la population métropolitaine. L’immigration est à la fois source de richesses et de coûts, pour le pays d’origine, le pays d’accueil et le migrant. Mais au bout du compte, ce sont les contribuables qui financent cette politique et son déficit de plus de 26 milliards d’euros.
Jamais une telle étude n’avait encore été réalisée en France. Dresser un état de l’art à partir des simples chiffres pour analyser ce phénomène en toute objectivité, telle est l’objectif de cette enquête.
Réalisée par Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines, elle concerne avant tout la France. On y apprend que l’immigration proprement dite coûte au total 71,76 milliards d’euros (coûts sécuritaires, coûts fiscaux et sociétaux, coût de la protection sociale…) et ne rapporte que 45,57 milliards d’euros. L’immigration serait donc responsable des trois quarts du déficit public de la France.
Cette étude et son approche documentée des coûts est un outil au service de l’ensemble des acteurs : élus, associations… Elle entend permettre à chacun d’étayer ses prises de position sur des données fiables. Tout le monde le sait, l’immigration divise l’opinion au-delà des clivages traditionnels. Face à ce problème complexe, il est important de se baser sur la vérité des chiffres.
Quelques chiffres :
La France compte 6.868.000 immigrés, soit 11% de la population métropolitaine.
L’immigration réduit des deux tiers la croissance du PIB.
Le coût de l’immigration en France est de 71,76 milliards d’euros.
Les recettes liées à l’immigration en France sont de 45,57 milliards d’euros.
Le déficit dû à l’immigration et supporté par les contribuables est de 26,19 milliards d’euros.
Lorsqu’une personne immigrée ne repart pas dans son pays d’origine à la fin de son contrat de travail, c’est l’Etat (le contribuable) qui prend en charge le coût des prestations sociales.
Les immigrés extra-européens et leurs descendants perçoivent 22% des prestations sociales.
Le coût unitaire des demandes d’asile est de 15.000 euros.
La plupart des dépenses d’immigration ne relèvent pas du ministère de l’Immigration de Brice Hortefeux.
Les dépenses sécuritaires liées à l’immigration s’élèvent à 5,2 milliards d’euros.
Le travail au noir concerne au minimum 500.000 personnes immigrées et représentent un manque à gagner pour l’Etat de 3,810 milliards d’euros.
65 à 90% des prostituées sont étrangères.
Le taux de chômage des immigrés et le double de celui des non immigrés.
Les prestations sociales constituent 14% du revenu moyen des ménages immigrés contre 5% pour les ménages non immigrés.
Henri sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“D’abord nous remercions chaleureusement le Prince Jean de ses vœux pour notre pays et de répondre…”