Un an après l’assassinat de sa fille, dans les conditions que l’on sait, le père d’Anne-Lorraine a répondu à de très nombreuses demandes d’entretien et a pu ainsi rencontrer un grand nombre de journalistes, de toutes sensibilités politiques. Il en a profité pour délivrer un message de bon sens et de saine colère, dont nous extrayons les deux réflexions suivantes
Un an plus tard, après avoir rejoint l’Institut pour la justice (1) , avez-vous le sentiment que vos positions gagnent du terrain ?
Tant que le législateur n’aura pas décidé de prendre à bras le corps le problème des pervers sexuels, ce sera compliqué. Je suis le premier à râler contre les limitations de vitesse ; pour autant, il faut reconnaître que les résultats sont là. Le jour où nous arrêterons de disserter sur le cas des pervers sexuels et que les mesures nécessaires seront prises, je pense que nous réduirons de façon significative le risque que représentent ces individus. Je profite donc des micros qui me sont tendus pour faire de la pédagogie et sensibiliser les gens. Ces gens sont des citoyens et des électeurs et je pense que la pression viendra de la base…
(1) : http://institutpourlajustice.blogspot.com
Cincinnatus sur Une initiative papale qui, curieusement, arrive…
“Nous ne sommes pas capables en France d’une révolution de velours, nous sommes incapables de faire…”