Kemi Seba, le fondateur du groupuscule noir radical Tribu Ka, a été placé en garde à vue le vendredi 19 décembre dans un commissariat parisien du XVIII° arrondissemnt de Paris, après avoir agressé un vidéaste auteur d’un film critique sur sa vie. De son vrai nom Stellio Capochichi, il a été entendu par la police dans le cadre d’une enquête pour « violence volontaire en réunion ».
Selon Ahmed Menguigi, auteur de la vidéo Kemi Seba, la vérité qui circule sur Internet, le fondateur de la Tribu Ka et les trois personnes qui l’accompagnaient l’auraient roué de coups rue de Clignancourt.
La Tribu Ka, accusée notamment d’antisémitisme, avait été dissoute par décret pris en Conseil des ministres, paru le 29 juillet 2006 au Journal officiel, sur proposition du ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy. Kemi Seba avait été condamné début novembre en appel à un an de prison avec sursis et 18 mois de mise à l’épreuve pour avoir reconstitué son groupuscule. Il a aussi été condamné en octobre par le tribunal correctionnel de Paris à quatre mois d’emprisonnement avec sursis pour diffamation raciale.
Nous ne pouvons que reposer notre question du 23 septembre 2008 : Mais qu’est-ce qu’un type pareil fait chez nous ? La France, dit-il, est un « camp de concentration asphyxiant la dignité raciale de chaque peuple » ? Eh bien, chiche, prenons le au mot et, vite, donnons lui la liberté, sortons le de cet enfer où il gémit et permettons lui de partir vite fait de cet endroit sinistre où il perd sa belle jeunesse !
Ne serait-ce pas une bonne politque, en même temps qu’un bon slogan: Liberté pour la tribu Ka et pour son fondateur ! Loin de chez nous, très loin, le plus loin possible…
Certes,c’est un être humain et donc responsable,il convient donc de lui interdire la liberté et d’une manière définitive.
Effectivement, je me pose la même question que vous, à laquelle il semble que l’on puisse répondre dans le cadre général de ma position en la matière : peine pénale suivie immédiatement d’un bannissement à vie à plus de 10.000 kms de l’un quelconque de nos territoires ! Si les faits sont prouvés, alors vive la « double peine » !