Quand France Info fait l’éloge de la diversité : ou : l’inconséquence promue valeur suprême !
On est prévenus : intonation gourmande, voire voluptueuse, à l’appui, le journaliste le répète plusieurs fois : aujourd’hui (19 janvier, ndlr) et toute la journée, veille de l’investiture de Barack Obama, la rédaction de France Info fait le point sur l’état de la diversité en France.
Bien sûr pour dire qu’il n’y en a pas assez : conformisme idéologique, quand tu les tiens !…..
Mais a-t-il réfléchi, ce journaliste, à cette chose toute simple : la France, telle qu’elle surgit de l’Histoire, forgée par ses traditions et tout ce qui lui est propre, a reçu des siècles un legs qui fait qu’elle n’est justement pas un carré numéroté, perdu au milieu d’autres carrés numérotés eux aussi, tous semblables et interchangeables, au milieu de nulle part. Et c’est seulement par ce legs, unique dans le monde, que la France est elle aussi un élément de diversité dans le concert des presque deux cents pays officiellement constitués qui forment l’ONU.
Et nous l’aimons tellement, la diversité, mais alors tellement, tellement ! nous en sommes tellement fanatiques, mais alors jusqu’à l’hystérie, que nous voulons l’appliquer… à la France ! Eh, oui, nous voulons préserver, à côté de l’ottentote, de la lapone et de l’amazonienne, la diversité française ! sans oublier, bien sûr, la zouloue, la kabardino-ingouche, l’inuit….
Vouloir à toute force imposer de la diversité, de la différence à cette France qui est ce qu’elle est parce l’Histoire en a décidé ainsi, cela revient précisément à casser une des diversités du monde, à la détruire, à la faire disparaître. C’est-à-dire, finalement, et qu’on le veuille ou non, lutter contre la diversité. Et sous prétexte de la promouvoir, en réalité l’affaiblir et la réduire. Bref, à faire le contraire, dans les faits et très concrètement, de ce que l’on dit, et de ce que l’on affirme.
CQFD.
Ne connaissant pas le journaliste qui a sévi ce matin-là sur France info, dès six heures du matin, nous ne savons pas dans laquelle des deux catégories il se range : soit celle des idiots utiles, dont parlait Lénine, qui n’ont rien compris au film et qui répètent ce avec quoi d’autres, qui tirent les ficelles, leur ont bourré le crâne ; soit, justement, celle de ceux qui ont très bien compris, qui savent parfaitement ce qu’ils font en dynamitant toutes les vieilles Nations historiques (pour nous, concrètement, la nôtre, la France. …) au nom d’une différence bidon, d’une diversité bidon, qui ne sont que des niaiseries grotesques mais mortelles. Et, à cause de gens comme ce journaliste de France info, efficaces…
C’est lassant, on l’a déjà dit et fait mille fois, mais il faut le refaire et le re-dire ; et recommencer, encore et encore, à temps et à contre-temps.
Aux gauchos/trotskos, il faut arracher leur masque de Tartuffes, dénoncer leur hypocrisie, démythifier et démystifier leur pseudo-anti racisme, leur pseudo diversité, leur pseudo différence… qui ne sont que des machines de guerre infernales contre toutes les Nations historiques, les Héritages, les Traditions, les Êtres profonds de nos vieux peuples, de France et d’Europe. Idéologues jusqu’au trognon, incapables de reconnaître leur erreur et d’y renoncer, ils ont remplacé leur défunte idéologie marxiste par une autre : l’anti racisme, qui sera précisément le marxisme du XXI° siècle, selon la fine analyse d’Alain Finkielkraut. Le but restant le même : du passé faire table rase, détruire et démolir tout ce qui est Héritage et Tradition….
Au peuple, à qui l’on ment à jet continu, à qui l’on bourre quotidiennement le crâne, et que l’on intoxique à dose aussi massives que journalières, il faut inlassablement expliquer la supercherie de la chose. Et que le soi-disant anti racisme, la soi-disant différence, la soi-disant diversité n’est qu’un piège à double détente, inventé par les révolutionnaires orphelins du marxisme. Dans un premier temps, on laisse entrer une quantité déraisonnable et insensée de personnes étrangères (en France, par exemple, plus de dix millions en trente ans); dans un deuxième temps, on prétend imposer leur reconnaissance en tant que telles. Ce qui aboutit, ni plus ni moins, à la dislocation de la France historique.
En quelque sorte, Je te prends ton pays et tu la fermes….
Henri sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“D’abord nous remercions chaleureusement le Prince Jean de ses vœux pour notre pays et de répondre…”