Dans le numéro 941 de Royaliste, Gérard Leclerc rend hommage à la grande figure d’Olivier Clément :
« …Il était un des mieux à même de comprendre la décomposition des idéologies, et singulièrement du marxisme, parce que sa connaissance du monde russe, qu’il devait notamment à Berdiaev, lui avait permis de saisir l’impossibilité d’une révolution qui dès ses origines était déportée vers le nihilisme totalitaire. Celui que Dostoïevski avait génialement annoncé et dont son successeur Soljenitsyne avait décrit la trajectoire à partir de sa propre expérience de déporté du goulag. Olivier Clément était le mieux à même d’accueillir le témoignage du successeur auquel il consacrait un essai important en 1974 (L’Esprit de Soljenitsyne) qui renvoyait au titre de Berdiaev (L’Esprit de Dostoïevski)… »
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”