Une dépêche AFP du 4 avril nous apprend que le tribunal de Montbéliard, dans le Doubs, a condamné un collégien, âgé de 20 ans (sans commentaire !…) à un an de prison dont six mois avec sursis, pour avoir aspergé de gaz lacrymogène le visage d’une enseignante. Une enseignante parce que, probablement, gazer une prof femme, c’est plus facile…..
La victime avait refusé que le collégien prenne place en cours parce qu’il avait du retard. Elle lui avait demandé de quitter la salle, selon l’enquête des gendarmes.
Le jeune homme âgé de 20 ans, scolarisé en cycle d’insertion professionnelle par alternance au collège Anatole-France de Béthoncourt avait alors proféré des insultes et des menaces à l’encontre de l’enseignante. Il était revenu une heure plus tard dans la salle de classe, muni d’une bombe lacrymogène avec laquelle il avait aspergé le visage de l’enseignante à trois reprises, a précisé la gendarmerie….
On apprenait également, très vite, que cet « enfant de la République » pour reprendre l’immortelle expression de Jacques Chirac n’en était pas, si l’on peut dire, à ses premiers essais : par exemple, lors de la Coupe du monde de football, en 2006, il avait mis le feu a un garage ! Bref, une vraie, une authentique « chance pour la France », pour reprendre une autre non moins immortelle expression, d’on ne sait plus trop qui (peut-être Bernard Stasi…).
A la barre, il dira au président, en substance, il faut me comprendre, je m’énerve pour un rien. Ben voyons !
Nous, on n’est ni pour le comprendre, ni pour six mois fermes. On est pour qu’il soit déchu d’une nationalité française dont, sitôt gratifié, il montre qu’il n’est pas digne. Et qu’il soit sur le champ expulsé d’un territoire national où il n’aurait jamais dû mettre les pieds. Lui et tant d’autres, qu’il faut traiter pareillement….
Henri sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“D’abord nous remercions chaleureusement le Prince Jean de ses vœux pour notre pays et de répondre…”