Deux reproches au père Augustin Legrand, qui semble vouloir persister à jouer au zorro, sauveur du monde.
Le premier, subjectif convenons-en: c’est quoi ces noms bizaroïdes d’associations qu’ils prennent tous maintenant, ampoulés et passablement ridicules ? Récemment, l’autre allumé de Breteau, avec sa copine non moins allumée que lui, Lellouch, appelait son organisme -qui ne faisait ni plus ni moins que de la traite des noirs…- L’Arche de Zoé. Là, Legrand appelle son truc Les enfants de Don Quichotte. Peut-être que, pour lui, la filiation est évidente avec celui qui – voyez Unamuno… – luttait pour l’Esprit. Force est de constater, cependant, que la lecture très spéciale et très réductrice qu’en fait le sieur Augustin le ramène au ras des pâquerettes (et encore, on est gentils…); et que vu sous l’angle Legrand, il ne reste pas grand-chose du héros de Cervantès, un peu comme si on avait passé à la machine un tissus très délicat genre Cachemire, programme long, 90 degrés et, pour finir, essorage 1.200 tours minute…
Le deuxième, objectif celui-là: Legrand s’affirme chrétien. Il devrait méditer le célébrissime passage de Saint Paul:
Henri sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“D’abord nous remercions chaleureusement le Prince Jean de ses vœux pour notre pays et de répondre…”