De La Provence, du mardi 25 août 2009…..
Tranche de vie dans la Cité Bassens, où, écrit tranquillement le journal -sans recevoir, évidemment le moindre démenti- « le taux de chômage des jeunes atteint 85% ».
La seule excuse de ce journal -mais, en est-ce une ?- est qu’il n’est pas le seul à véhiculer les mensonges et la manipulation du Système, plus grand voyou et premier délinquant de France. En effet, La Provence, comme presque tous les autres journaux, reprend volontiers et très régulièrement, le couplet des immigrés indispensables à notre économie, vous savez, puisqu‘ils-viennent-chez-nous-pour-faire-le-travail-que-les-français-ne-veulent-pas-faire.
Mais, on a beau faire semblant d’être aveugle, on est bien obligé de le dire: La Provence -comme presque tous les autres journaux- fait donc régulièrement alterner le mensonge précédent avec l’énoncé d’une vérité qu’il est de toutes façons impossible de cacher: l’ahurissant taux de chômage des « jeunes » (celui de leurs parents n’étant, souvent, pas mal non plus….).
On connait le mot de Lénine, que nous citons très régulièrement. Il y a le petit groupe des manipulateurs -qui tirent les ficelles en coulisse- et puis la masse des idiots utiles, qui suivent en bêlant. Alors, La Provence, et celles et ceux qui font comme elle: manipulateurs, ou idiots utiles ?…..
Il n’y a pas d’autre solution que le conditionnement du versement des prestations sociales à des services d’intérêt général comme l’installation de panneaux solaires ou particuliers s’il s’agit par exemple de travaux chez des agriculteurs. Cela s’appliquerait aussi bien à nos compatriotes trop récalcitrants à accomplir certains « boulots » qu’aux allogènes qui seraient ainsi occupés utilement.
Et pour prévenir le risque d’émeute: quelques unités de l’armée de terre n’intervenant qu’en légitime défense de civils ou de policiers/gendarmes prélevées directement…sur nos forces en OPEX (possible de laisser quelques vétérans en Afghanistan pour « tuiler » l’armée regulière) comme cela, cela fera des économies pour le présent et l’avenir..
– Ayant travaillé en banlieue, et vivant dans un quartier où le taux d’immigration bat des records, je vais prendre la défense de ces immigrés suivant le principe de responsabilité que vous énoncez, avant de le contredire immédiatement. Si « le poisson pourrit par la tête », à quoi bon vous en prendre au menu fretin, qui fait l’objet de manipulations électorales de la part de tous les partis politiques, et n’est pas assez bête pour ne pas s’en rendre compte ?
– « La France ne peut pas accueillir tout le monde » est une très mauvaise blague, dans le sens où la France n’a jamais accueilli personne, philanthropiquement parlant : vous devez le savoir, puisque vous fustigez les gadgets républicains par ailleurs, dont le but principal est de blanchir le passé colonial sanglant de la France. BHL, spécialiste en la matière, est issu d’une famille de pieds-noirs enrichie dans l’exploitation coloniale de l’Algérie, que la France n’a cédée qu’après y avoir fait 200.000 victimes, sous la pression internationale, et en maintenant des réseaux d’influence dans toute l’Afrique. Les Ivoiriens qui vivent en France savent que Bolloré est propriétaire d’une partie de leur pays, donc vos conceptions frontalières de la propriété ou de la souveraineté leur paraîtront forcément un peu naïves.
– Sur le plan économique, ensuite, ce sont les patrons des grosses entreprises françaises qui croient le plus dans le dynamisme des banlieues et dans la reprise économique, et ce sont eux aussi qui y injectent le plus d’argent. Ils se fient au modèle américain, d’une croissance économique principalement due à une forte immigration. Quoi qu’il en soit, et même si on peut douter de l’efficacité de ce modèle, ils achètent ainsi la paix sociale. Les universités françaises surpeuplées jouent le même rôle d’antichambre avant le chômedu, qui coûtent très cher aussi. Et l’armée française, dont les expéditions coloniales paraissent plutôt vaines et hasardeuses. Sans compter les provinces françaises dépeuplées et en jachère, qui pèsent aussi sur le budget de l’Etat, les 3/4 des agriculteurs étant sous perfusion. Le folklore monarchiste pour renflouer les caisses de l’Etat ? Vous devriez en toucher un mot aux immigrés, qui en matière de folklore en connaissent un brin aussi.