C’est peu, pour l’instant -il y aura peut-être quelque chose de plus substantiel par la suite…- mais c’est tout de même une phrase bien choisie: Le Point a évoqué très brièvement la parution d’Un Prince français en citant un propos du Prince Jean qui fait irrésistiblement penser à ce que nous citons souvent de Jean Guitton.
Lui parlait du Pape (« le Pape porte le tout… », aimait-il à répéter), mais on peut sans craindre transposer son propos, dans le domaine du politique, et l’appliquer au roi.
En effet, et du double fait qu’il dispose du temps long -qui manque tant à la République !…- et qu’il ne doit rien à personne -puisqu’il ne doit son pouvoir ni à l’Argent, ni aux partis- le roi, dans cet espace a-démocratique qui serait un réel plus pour nos institutions, pourrait être cet Arbitre impartial qu’évoque le Prince:
Cincinnatus sur Une initiative papale qui, curieusement, arrive…
“Nous ne sommes pas capables en France d’une révolution de velours, nous sommes incapables de faire…”