Ou: Staline et Hitler, les deux enfants de Robespierre et de la Convention…..
Voici ce qu’on pouvait lire sur la page d’accueil du site Radio Vatican, le 22 août dernier:
http://www.radiovaticana.org/FR1/Articolo.asp?c=311285
Ce dimanche, 23 août, on célèbre pour la première fois une journée européenne du souvenir des victimes du stalinisme et du nazisme. Le jour retenu correspond à l’anniversaire de la signature du pacte Molotov- Ribbentrop, en 1939, qui scella le partage de l’Europe entre Hitler, à l’Ouest, et Staline, à l’Est. Le 3 juillet dernier, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe a donc mis pour la première fois le nazisme et le stalinisme sur un même pied d’égalité. C’est une nouveauté sauf pour l’Église catholique. Dans les années 30 déjà, on l’oublie trop souvent, le Pape Pie XI avait condamné sans équivoque les deux idéologies totalitaires du XXème siècle, les deux forces du mal, Hitler et Staline.
Une résolution récente de l’Organisation de coopération et de sécurité en Europe, proposée par la Lituanie et la Slovénie, a condamné d’un même mouvement le nazisme et stalinisme et c’est une première. Dans les pays d’Europe centrale et de l’Est, les catholiques sont nombreux à saluer cette initiative. Ainsi, la commission Justice et Paix de l’épiscopat slovène invite les chrétiens à s’associer à cette journée.
Voilà une nouvelle importante. On en arrive en somme à ce que l’on pourrait appeler l’acte II de l’officialisation urbi et orbi de cette vérité fondamentale, encore ignorée de beaucoup: le marxisme et le nazisme sont frères. Frères ennemis, certes -du moins, après la fin de leur Pacte de non-agression… (caricature ci dessus et ci dessous)- mais frères tout de même, frères jumeaux.
L’Église catholique, comme le rappelle ici Radio Vatican, l’avait clamé haut et fort « dans les années 30 »: c’était ce que l’on pourrait appeler l’Acte I. Il aura tout de même fallu attendre près de 80 ans pour en arriver à ce que ce message de l’Église reçoive un aval officiel (en l’occurrence de l’OSCE): Acte II.
C’est un peu long, mais bon… c’est une bonne chose.
Il ne manque plus, donc, que l’Acte III et dernier, le Final de la pièce: montrer maintenant au public, urbi et orbi, l’origine de ces deux jumeaux. Car enfin, en politique pas plus qu’ailleurs, la génération spontanée, cela n’existe pas. Ils viennent bien de quelque part ces jumeaux, ils ont bien une origine, une filiation. Cette filiation, en droite ligne, en ligne directe, elle est très claire: l’un et l’autre sont les enfants de Robespierre et de la Convention, qui ont posé les actes fondateurs des Totalitarismes modernes, et des Génocides modernes.
Tout est dit, entre autres, dans le discours fondamental de Robespierre sur le jugement de Louis XVI (1ère intervention) prononcé à la tribune de la Convention le 3 décembre 1792 (1): en substance, Louis ne saurait être jugé, car le principe même d’un jugement sous-entend que l’on peut être déclaré innocent; donc la Révolution pourrait étre déclarée coupable; il faut donc que Louis meure, car s’il est innocent, alors ceux qui on fait la révolution sont coupables…
Au nom de cet « admirable » (!), extra-ordinaire et… monstrueux sophisme, on a assassiné un innocent. Mais la leçon a été retenue par les deux enfants de Robespierre.
A quoi bon juger ces Juifs, dira Hitler, la race aryenne ne saurait être soupçonnée d’erreur dans ses pensées, ses jugements ou ses actes, puisqu’elle est « supérieure » (!). Ces juifs doivent donc mourir, sinon c’est admettre l’idée que la race aryenne a pu se tromper, ce qui est impossible… A quoi bon juger ces dissidents, dira Staline, la classe ouvrière est l’avant-garde consciente qui a reçu pour mission de faire éclore l’Histoire et de l’achever. Elle marche dans le sens de l’Histoire, et l’idée même de juger quelqu’un qui s’oppose à elle -et qui ne peut être qu’un traître ou un malade- serait admettre l’idée que la classe ouvrière pourrait se tromper, ce qui est impossible…..
On le voit, le tout de la mécanique infernale est contenu dans le discours de Robespierre, qui est une vraie bombe, insuffisamment lu, insuffisamment étudié. Ce discours est bien l’acte fondateur, la parole fondatrice de tous les procès nazis ou staliniens de l’histoire, de tous les Totalitarismes, de tous les Génocides.
On attend donc maintenant avec impatience que cette filiation Robespierre/Hitler-Staline soit officiellement reconnue et proclamée à la face du monde entier. Notre tâche est d’y contribuer. Allons-y !…..
(1) : Nous publierons d’ailleurs bientôt, dans notre Catégorie « Grands Textes », l’intégralité de ce discours fondateur de tous les procès totalitaires, et des assassinats qui s’ensuivirent. Ce sera, en quelque sorte, « L’Anti Grand Texte » de la série….
Du grand n’importe quoi. Hitler un enfant de Robespierre. Pathétique. L’un prônait de tuer les gens à cause de leur naissance, l’autre tuait quiconque émettait l’idée que l’on était pas égaux ou ne devait pas l’être (les girondins ont défendu le roi, ils se sont donc par là opposé a l’égalité de naissance, je ne les pleure pas). Votre réflexion est puérile, vous vous focalisez sur la « ferveur » et le nombre de morts. Piètre travail Monsieur.
Jacobin ne comprend rien parce qu’il ne veut rien comprendre. Il y a longtemps que j’ai dit et écrit que le nazisme et le communisme étaient les enfants de la révolution française. Le nier encore aujourd’hui ne prouve qu’une mauvaise foi dogmatique digne des sectaires cités plus haut.La « ferveur » (??) et le nombre de morts ne sont pas en cause, c’est le principe, le cheminement intellectuel, qui est et reste le même, qui est ici démontré.
Bon aller je réponds. Déjà je n’avais pas vu que j’étais sur un site royaliste, sinon jamais je n’aurais argumenter. Je vais couper court : nous reviendrons au pouvoir un jour ou l’autre (les français reviendront se réfugier dans nos jupes) et tremblez petits royalistes, ainsi que tous ceux qui vous défendront (girondins et autres). Car nous vous traquerons et vous massacrerons pour détruire la sale engeance que vous êtes. Craignez-nous car nous ne rigolons pas. Vous le savez.
Bon, allez, je réponds également (les fautes en moins) :
Mon pauvre ami, laissez-moi vous dire que nous ne risquons pas de trembler devant vos stupides mais ô combien révélatrices menaces : Vous venez vous-même de démontrer la véracité de nos propos.
Traquer, massacrer, détruire, voilà tout ce à quoi vous aspirez en bon petit révolutionnaire que vous êtes, digne héritier de Robespierre et de sa filiation directe, Hitler, Staline, Mao et Pol Pot. Mais vous ne nous dites même pas ce que vous êtes. Nazi ? Communiste ? Autre ? Peu importe d’ailleurs, vous n’êtes, comme ces derniers, qu’un assassin pensant sans aucun doute que, quand le peuple pense mal, il faut changer le peuple. Faites nous plaisir, voulez-vous, retournez d’où vous venez : des poubelles de l’histoire.
Pourvu qu’il vous écoute,Yves;je ne pensais pas que de telles personnes pouvaient encore penser de la sorte.Effrayant:ces propos n’ont même pas droit au tri sélectif!Bonne journée à tous.
La terreur c’est nous. On a réussi à terroriser les gens à travers les siècles car tel était notre but. Et si nos ennemis ont peur c’est qu’ils savent que nous ne sommes pas finis. La France nous appartient, ce sont nos terres. Vous n’êtes plus les bienvenus ici. La crise mondiale qui s’avance rampante va nous remettre les clefs de la France (voire du monde enfin) en main… Un jour nous recommencerons… 😀
Non je ne suis pas seul, vous le savez, et on est de plus en plus puissant. Nous établirons notre règne sur la surface du globe et tous les ennemis des droits de l’homme pâtirons, enfin. Nous finirons ce que nous avons commencer sous l’égide du grand Robespierre. Aller je vous fais de gros bisous les royalistes. N’oubliez pas de regarder derrière vous.
Aies-je réellement besoin de vous dire si je suis nazi ou coco ? Mon nom n’est-il pas explicite ?
Vous êtes surtout un abruti de première grandeur!