On sait l’enthousiasme communicatif de Lorant Deutsch pour le Prince Jean et ce qu’il représente. Le 6 novembre, à Paris, c’est Jean Piat qui viendra s’entretenir avec le Prince de son ouvrage. Tout récemment, alors que Michel Fields l’invitait dans Historiquement show, Jean Sévillia a eu la très heureuse idée de faire se rencontrer, pour dialoguer, le Prince et Max Gallo: la raison en était que l’un et l’autre sortent en cet automne un ouvrage chacun (les premiers Capétiens, pour Gallo, et -bien sûr- Un prince français, pour le prince Jean). Et cela nous a valu le très intéressant entretien que nous reproduisons ci-après (même s’il faut une loupe ! nous avons voulu montrer le bon boulot qu’avait fait -une fois de plus…- Jean Sévillia). Et, à l’occasion du véritable tour de France qu’il a commencé, le Prince rencontre des journalistes de la presse écrite et parlée (à Béziers et à Senlis, ses deux premières étapes, Le Midi Libre et FR3 Picardie…).
Mais il ne s’en tient pas qu’à ces célébrités. Le Prince rencontre aussi tout le monde, tous les gens de France, et pas seulement les académiciens, les acteurs, les journalistes. Vient qui veut, évidemment, mais le Prince veut -et il le fait très bien- se rendre proche, se montrer disponible, être au contact du maximum de personnes possibles, de tous âges, de toutes conditions et situations sociales. Ceux qui étaient aux Baux ont bien vu les deux Princes, Jean et Eudes, passer au milieu de tout le monde, et rester de longs moments, sans se dérober -bien au contraire- avec toutes celles et tous ceux qui souhaitaient leur toucher un mot, comme on le dit familièrement.
Cette volonté d’entrer en contact avec les gens est une constante chez le Prince. Et le public le sent, le comprend, et n’y est pas insensible: il suffit de voir, par exemple, le succès de l’appel de fonds pour le cadeau de mariage de Jean et Philoména: il est clair que les donateurs ont largement dépassé ce que l’on pourrrait appeler nos cercles habituels, et leur nombre, d’une part, leur générosité, d’autre part, sont des signes qui ne trompent pas. Le prince reçoit, en retour de sa simplicité et de sa disponibilité, une réelle affection, non feinte et de bon aloi, et ce n’est que justice.
Pour l’instant, on n’en est qu’au début de ce tour de France: deux étapes (Béziers, Senlis), deux succès. La soirée de Paris devrait être un coup d’accélérateur puissant, avant les soirées de Nice, de Marseille-Aix, de Versailles, Lyon et Grenoble (pour ne parler que de celles de novembre….).
On le voit, le Prince travaille, avec sérieux, constance et régularité: le rôle de chacun est de seconder ses efforts, de pousser à la roue avec lui, de tout faire pour amplifier au maximum le mouvement qui se dessine, afin que ce tour de France, à la rencontre des gens de France, soit plus qu’un succès: une vraie dynamique, porteuse d’espoir(s)…
Il s’entretient avec la NRH puis avec le Prince de France… et bien !