Nous avons appris le décès de l’abbé Georges de Nantes.
Malgré les circonstances, somme toute désolantes, qui ont marqué la fin de son activité, nous serons, sans doute, nombreux à conserver de lui un grand souvenir. Son autorité naturelle et sa prestance, son charisme, son intelligence puissante et vaste qui dominait de larges domaines – philosophie, théologie, politique, sciences – forçaient l’admiration, et suscitaient, simultanément, tantôt l’adhésion, tantôt le rejet.
Il avait mené un combat farouche contre le concile Vatican II et s’était radicalement opposé, on s’en souvient, à Paul VI comme à Jean-Paul II. Il avait pressenti, mêlant, sans doute excessivement, le religieux et le politique, ce qu’un certain concile et ses conséquences allaient causer de torts à l’Église comme à la société civile.
Nous publions ici la réaction de Gérard Leclerc, parue, ce jour, dans France catholique: Gérard Leclerc mort de l’abbé de Nantes.pdf
Henri sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“D’abord nous remercions chaleureusement le Prince Jean de ses vœux pour notre pays et de répondre…”