C’est à Daniel Lefeuvre que sont posées, ce samedi 13 février, les « Trois questions à… » du Figaro.
A la deuxième question, La Fondation pour la mémoire, annoncée à Paris, est-elle une solution ?, il apporte cette réponse, qui a le mérite d’appuyer là où ça fait mal :
« Oui, si elle favorise la recherche sur la colonisation et la guerre d’Algérie. Les archives françaises sont largement ouvertes, les Algériens doivent en faire autant. Le risque, pour l’Etat algérien, est de se retrouver face aux crimes du FLN dont ont été victimes pendant la guerre les « messalistes », les harkis et les civils européens. »
Ou: qui a peur de la vérité ? Et de l’ouverture des archives ?…
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”