C’est de bon sens qu’a fait preuve Alain Minc, sur I-télé, en réponse aux questions de deux journalistes, ce dimanche 14 février. Parce qu’il est parti des faits, et non d’a priori, favorables ou défavorables…
Lorsque le débat vient sur l’entrée -ou non- de la Turquie en Europe, voici ce qu’il répond: « …Malheureusement, la Turquie quitte les rives de la laïcité, imposée il y a cent ans par Atatürk… Et j’ai tout de même du mal à imaginer que la frontière orientale de l’Europe soit la frontière irakienne… L’Europe, on ne peut la déséquilibrer indéfiniment… »
Ce qui ne l’empêche pas – et nous le rejoignons tout à fait là-dessus – de proposer une intégration économique, notamment avec des accords les plus étroits possibles. N’est-ce pas du simple bon sens ? Personne -et nous pas plus que d’autres- ne nie l’intérêt qu’il y a, pour l’Europe, à entretenir avec la Turquie les meilleures relations économiques.
Mais quel besoin y aurait-il, pour profiter pleinement de ces relations, de constituer un monstre, déséquilibrant encore – pour reprendre l’expression d’Alain Minc – une Union Européenne déjà de toutes façons ingérable et ingouvernable en l’état !…
L’Europe n’existe pas,il s’agit depuis toujours de ruiner les nations qui la composent et en particulier La France;C’est fait,la Turquie n’a rien à faire en Europe;et elle ne doit pas entrer dans l’europe. Reconstruisons une France Forte ,quittons cette europe,abandonnons l’euro et travaillons « dur » et nous redeviendrons une puissance.