Pour donner envie à celles et ceux qui ne l’ont pas encore lu, ou acheté… ou qui se demandent si cela vaut le coup…
Pour nous, c’est sûr, il vaut le coup d’être acheté et lu, car c’est un bon livre…
Quelques mises en bouche ?…..
237 pages, 19,50 euros
– La crise que traverse le christianisme est-elle pour vous une source d’inquiétude ? Comment l’expliquez-vous ? Vous êtes-vous intéressé à l’évolution récente du christianisme, depuis Vatican II ?
« …Je pense simplement que la France et, au-delà, l’Europe ont pris une mauvaise direction il y a quarante ou cinquante ans. L’Église elle-même insistait plus sur l’action sociale que sur la foi et l’espérance, ce qui explique sans doute que son audience ait diminué: pourquoi resterait-on fidèle à l’Église si rien ou presque ne la distinguait d’une banale ONG ?
Je force le trait, mais c’est pour me faire comprendre: si l’Église ne dérange plus nos habitudes, si elle ne bouscule plus nos certitudes, le risque est d’oublier l’essentiel. Annoncer le Christ, ce n’est pas cultiver le consensus ! Être chrétien, c’est accepter d’être différent, de se démarquer, non par plaisir mais par nécessité quand certaines lois méprisent la personne humaine, quand certains comportements choquent le bon sens. Le Christ est un « signe de contradiction » : « Scandale pour les Juifs, folie pour les païens », dit saint Paul. Je pense que nous avons perdu de vue le Christ pendant quelques décennies, mais les choses évoluent bien. Nous le devons à Jean-Paul II dont la pastorale a remis les chrétiens sur les bons rails en recentrant le message sur les « fondamentaux ». Nous le devons à Benoît XVI qui approfondit le sillon creusé par son prédécesseur. De nouveau, tout s’organise autour du Christ. Le reste en découle….. » (Chapitre 6 – Foi, pages 124/125).
Cincinnatus sur Une initiative papale qui, curieusement, arrive…
“Nous ne sommes pas capables en France d’une révolution de velours, nous sommes incapables de faire…”