Appel d’intellectuels, journalistes, artistes et personnalités de la société civile, chrétiens ou non chrétiens
Cet appel a été lancé à l’initiative de François Taillandier (écrivain), Frigide Barjot (humoriste), Natalia Trouiller (journaliste et blogueuse), Koz (blogueuret avocat), François Miclo (philosophe).
Vous pouvez signer, et faire signer cet Appel:
http://www.appelaverite.fr/
« Heureux serez-vous lorsqu’on vous insultera, qu’on vous persécutera et qu’on répandra faussement sur vous toute sorte de mal, à cause de moi.
Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les cieux, car c’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui vous ont précédés»
Matthieu. 5.11-12
La presse, surtout celle qui est dominée par cette gauche insalubre, intello, jouisseuse, fait tout ce qu’elle peut pour détruire Benoit XVI, qui a le courage de dire non à leur culture de mort et à leur pensée unique.
Ils ne lui pardonnent pas d’avoir mis un terme au désordre issu de Vatican II, rendant impossible son utilisation comme support de leur idéologie malfaisante.
C’est journellement qu’il faudrait dénoncer la médiocrité des médias et leurs manipulations. Ils sont friands de ce qui est sale et salace, ils n’aiment pas la vertu et ne vivent que par et dans les immondices.
Leur domination actuelle est le résultat de la lacheté des gens de bien qui se sont tus depuis trop longtemps.
Que d’insultes devrons-nous encore supporter de leur part avant que se lèvent des hommes courageux et dignes, décidés à mettre de l’ordre !
Totalement d’accord avec vous, Sébasto. Merci pour vos commentaires, en général, et pour celui-ci, en particulier, qui est du reste loin d’être le seul que nous ayons apprécié….
Notre Saint Père est crucifié par cette « gauche insalubre » (belle définition !), mais bien mal défendu par la piétaille conciliaire défroquée qui pourrit nos paroisses !
Qu’il trouve la force de surmonter cette épreuve et de nous donner encore l’exemple des vraies valeurs que nous devons affirmer.
Le respect de la vie terrestre, de sa conception à son passage vers la vie éternelle est le fondement de toute existence chrétienne.
Nos évéques se sont-ils dressés contre le culte idôlatre rendu par toute la nomenklatura à Simone Jacob, lors d’une cérémonie quasi-satanique ?
je n’ai lu aucun communiqué en ce sens, et Mgr Dagens, évêque d’Angoulême et académicien semble avoir gardé « de Conrard le silence prudent ».
Jean d’Ormesson, viveur momifié, a encensé l’infanticide ! qui donc lui a dit qu’il deshonorait son nom dans cette bassesse.
rien , rien ! l’impunité pour tous ces crimes !
Nos prières sont une arme efficace.
Il est fort probable, également, que toutes ces « belles âmes » tolérantes quand ça les arrange, et surtout pas vis à vis de sa Sainteté Benoit XVI et/ou des catholiques, sont très « dérangées » par sa décision de béatifier Pie XII, en même temps que Jean Paul II : alors, tout prétexte est bon pour attaquer.
Nos êvéques reconnaissent parfois qu’ils sont trop silencieux ( Marche pour la vie, entre autres ) mais l’affaire de la nouvelle académicienne ( ne parlons plus de l’Académie Française ) montre une fois encore leur manque de courage…
Les notes sur les sujets religieux, si légitimes soient-elles, dans un blog dont le souci est, au sens noble, politique et de civilisation, ce dernier plan étant, à mon sens, à la fois français et européen, suscitent, à côté, bien-sûr, de commentaires raisonnables et sérieux, des imprécations et des folies, d’une irrationalité, qui laisse un peu pantois … On ne peut, évidemment pas, s’y reconnaître.
C’est ce que Thibon appelait très simplement, les très mauvaises retombées du christianisme et, d’ailleurs, de toute religion. Au point qu’on en viendrait presque, à force, à regretter la rationalité des Lumières. Mais là, j’exagère et je fais fin à ce commentaire qui est, un peu, je le reconnais, un commentaire d’humeur.
LORI a raison.
Attention à bien prendre les attaques contre l’Eglise là où elles se situent : c’est-à-dire ni dans notre estomac personnel (là où pourtant elles peuvent faire mal), ni même seulement dans l’institution ecclésiale (pourtant clairement visée tant pour ses défaillances que pour ses vertus).
Les flèches passent en effet largement au-dessus de nos têtes. En nous retournant vers celui qui les reçoit, nous trouvons le Crucifié, Celui que nous ne finissons pas, nous-mêmes, de défigurer.
Cher Sebasto,
Je suis complètement d’accord avec vous quand vous dénoncez avec talent « la médiocrité des médias et leurs manipulations », leur amour de l’ordure et leur haine de la vertu. En revanche, je ne partage pas votre optimisme quant à la fin du « désordre issu de Vatican II ».
Bien sûr, Benoît XVI s’attaque avec un immense courage aux conséquences théologiques de l’idéologie qui s’est infiltrée dans l’Eglise ; il brave les crocs de la meute et, bien sûr, nous sommes avec lui dans ce combat. Cependant, il ne remet pas en cause les postulats humanistes qui en sont l’origine. Dès lors que ces postulats sont universellement partagés par tout ce qui a un pouvoir dans le monde, le fait pour l’Eglise de les accepter la conduit à en faire une super-révélation ou à être en porte-à-faux. C’est la situation où nous sommes et il n’y a pas apparence de la voir cesser.