Pour donner envie à celles et ceux qui ne l’ont pas encore lu, ou acheté… ou qui se demandent si cela vaut le coup…
Pour nous, c’est sûr, il vaut le coup d’être acheté et lu, car c’est un bon livre…
Quelques mises en bouche ?…..
237 pages, 19,50 euros
Vous êtes très attaché à la Francophonie ?
« Oui. Cet espace francophone est un atout incomparable pour notre pays. Je le connais bien pour l’avoir parcouru du Liban au Québec, de l’Afrique à la Louisiane. Je peux vous assurer que la langue française est partout demandée. Quand je vais au Maroc, je parle français au roi, aux préfets, aux hommes d’affaire, aux gens de la rue. Au fond de la Bekaa, des hommes et des femmes sont venus me voir pour me demander de faire venir au Liban des professeurs français. Sur le continent américain aussi la France est attendue.
C’est d’ailleurs par Québec que j’ai commencé mes voyages politiques à l’étranger. J’avais déjà visité la Beauce québécoise avec le comte de Paris, mon grand-père. J’y suis retourné plusieurs fois, la dernière en juillet 2008, à l’invitation du gouvernement québécois, pour les quatre cents ans de la fondation de la ville par Samuel de Champlain. De nombreux musées patrimoniaux ont été rénovés à cette occasion par les gouvernements québécois et français. C’est bien : il nous faut resserrer les liens entre la France et la Belle Province.
La Louisiane -ainsi baptisée en l’honneur de Louis XIV- redécouvre elle aussi le français, après en avoir interdit l’usage jusque dans les années 1960. On y compte aujourd’hui près de 200.000 francophones. A Bâton Rouge, j’ai été reçu par le maire et par le Conseil pour le développement du français en Louisiane (CODOFIL). A La Nouvelle-Orléans, je suis allé rencontrer la communauté française mais aussi les indiens francophones de la nation amérindienne Houma, dont les ancêtres avaient pris le parti des français lors des guerres anglo-françaises. A Lafayette, j’ai vu toutes les organisations acadiennes: c’est la capitale du pays cajun, où se déroule chaque année le plus grand évènement francophone des États-Unis, le Festival international de Louisiane.
Oui, la langue française est réclamée partout parce qu’elle est une langue de culture et je crois aussi de paix. Nos amis francophones la défendent souvent mieux que nous-mêmes ! Elle soutient des moeurs, elle exprime une identité, elle définit des exigences. C’est un trésor qu’il nous faut partager. La langue française est notre patrie, dans ce qu’elle a de national, et celle de bien d’autres peuples, dans ce qu’elle a d’universel. » (Chapitre 4 – France, pages 97/98).
Le Prince à l’écoute et à le rencontre du monde : deux photos, tirées de notre Album Le prince Jean de France, héritier de la dynastie fondatrice de notre nation (31 photos)
Ci-dessus, clin d’oeil symbolique à la Nouvelle Orléans, ou : quand la tradition familiale rencontre l’Histoire….
Et, ci-dessous, rencontre avec les Houmas….
Ils ont été « les enfants rouges de la France ».
Les Houmas, comme les Hurons, ou tant d’autres, sont les descendants de ceux qui ont reçu, avec bienveillance Jacques Cartier ou Samuel Champlain.
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”