Une bouffée d’air pur dans un océan de miasmes !
Loin des voyous, pourris de fric, de frime et de purement matériel, passons quelques instants avec un grand soldat qui, lui, a aimé et servi la France. La voyant, vers la fin de sa vie, s’enfoncer dans une décadence certaine, dont les piteux anti-héros de l’idéologie multiculturelle sont les tristes représentants, il lui adressait un Adieu, ma France, plein de nostalgie et de sombres pressentiments….
Voici que la ville d’Aix-en-Provence vient d’inaugurer un rond-point qui porte son nom : la cérémonie a eu lieu en présence du général Piquemal, président de l’Union Nationale des Parachutistes, et des élus de la ville : BIGEARD La PROVENCE 20.06.2010.pdf
Les drapeaux des associations d’Anciens combattants étaient là, pour rendre hommage à celui qui avait reçu la distinction de Légionnaire de 1ère classe honoraire, matricule 105.265/bis, le 30 avril 1954, lors des combats de Dien-Bien-Phu. Après les discours des autorités et la minute de silence, l’assistance a entonné le chant Si tu crois en ton destin ….
On était loin, très loin, de la caillera….
« Adieu ma France… Tu n’es plus celle que j’ai connue, le pays du respect des valeurs, de l’hymne et du drapeau, le pays de la fierté d’être français. Adieu ma France des trafics en tous genres, du chômage, de l’islamisme, de la polygamie, du laxisme, de la permissivité, de la famille décomposée… Adieu ma France réduite à l’état d’urgence, ma France déconstruite, en guerre avec elle-même. Je veux, néanmoins, demeurer optimiste et croire en ton sursaut. Mais qui te sauvera ?…
C’est donc à un réarmement moral du pays que je veux appeler en rédigeant ces pages, afin de conjurer la menace qui risque de nous engloutir corps et biens. Je pourrais, sur les affaires, rédiger des livres entiers. Mais en résumé, que faut il retenir de ce constat ? Tout simplement que, pour sortir la France de sa torpeur, l’une des toutes premières conditions est de restaurer la morale publique dans le pays…. »
Marc Vergier sur 2024 : Le taureau par la…
“Cher Pierre Builly, vos remarques sont toujours les bienvenues. Je ne garde pas la même impression…”