Alors qu’il est bien établi que les policiers ont été attaqués à balle réelle, suite à la mort d’un braqueur multi-récidiviste (un accident du travail, en quelque sorte ?…), voici que l’on bascule dans le tragi-comique avec la mère de la victime qui affirme vouloir porter plainte !
On en est là, dans la France qu « ils » nous ont concoctée : les braqueurs braquent, mais s’ils se font tuer, leurs potes, les « jeunes », cassent tout….
Mais d’abord, petit rappel des faits :grenoble.pdf
Il n’est que trop évident qu’on ne doit pas attendre de solution de fond de la part du Système : c’est lui qui a, délibérément et méthodiquement, installé en France cette bombe à retardement qu’est l’immigration; qui laisse se développer – sans la combattre en aucune façon – cette tartufferie du soi-disant anti racisme et de la diversité bidon; qui tolère et encourage la police de la pensée (quitte à ce qu’elle lui retombe dessus, parfois, n’est-ce pas Brice Hortefeux ?…); qui prête activement la main à cette entreprise anti nationale de mille manières (subventions, discrimination positive…) etc… etc…..
La solution au problème ne peut donc pas venir des pompiers (?) pyromanes qui nous gouvernent. Rappelons, s’il en était besoin, qu’il n’y a pas une semaine Brice Hortefeux annonçait qu’on ne publierait plus les statistiques des violences et des voitures brûlées ! Pour ne pas donner des idées « aux autres » !…
La seule solution est dans le durcissement des lois, un durcissement proportionnel à l’extrême gravité d’une situation, qui ne fait qu’empirer de jour en jour. Il s’agit de savoir si le peuple français et les gouvernants seront, ou non, en mesure de répondre à un état de fait devenu ingérable en l’état, et qui ne relève plus des lois laxistes actuelles. Celles-ci permettaient peut-être de répondre à une violence qui se maintenait tant bien que mal à son taux incompressible, et que l’on pouvait qualifier de normale ou d’habituelle, avant, mais se trouvent totalement inadaptées à la situation actuelle.
Les choses en sont arrivé à un tel point que la déchéance d’une nationalité octroyée à des gens qui ne s’en montrent pas digne, et leur expulsion immédiate sont désormais la seule réponse au problème. Et cela, sur une grande échelle.
Le reste n’est que (mauvaise) littérature….
Votre raisonnement, parfaitement binaire, semble s’être mis entièrement à l’école de ce qu’il prétend combattre.
Ce dont il s’agit, c’est précisément de faire comprendre à chacun, jeune ou vieux, flic ou voyou, président à Rollex ou électeur fauché, qu’il a des droits et des devoirs.
Une plainte est infondée ? La belle affaire, on sera débouté. Stigmatiser le fait même de son dépôt est inepte et contre-productif.
L’exemple de cette plainte totalement inepte, effectivement démontre clairement le fossé infranchissable qu’il y a désormais entre la foule des inadaptés à la France et sa civilisation et les Français de souche. La France n’est plus chez elle sur son territoire et les envahisseurs prétendent faire régner leur loi de sauvages, de vandales, de criminels. La seule réponse possible est effectivement le bannissement immédiat à plus de 10.000 km du territoire français tout autour du globe. Tout retour des bannis : la peine de mort. Comme au temps de napoléon III où la mort guettait Victor Hugo pour avoir seulement fait placarder une proclamation de l’Assemblée Nationale dans les rues de Paris. Alors incendier, violenter, blesser, tuer, violer, saccager, c’est évident… Lire à ce sujet son compte rendu des journées du Coup d’Etat du 2 Décembre 1851.
Votre indifférence au droit me donne à penser.
Les bamboulas et les bicots ont voulu l’ indépendance; ils l’ ont eue: alors hors de France! Au besoin, il faut les exécuter séance tenant sur les lieux de leurs méfaits en faisant toutes les économies possibles! Et pour leurs complices et soutiens: idem!!!
vos propos sont tellement excessifs que vous risquez de vous faire traiter de sous-marins de la cause adverse, et ne l’aurez pas volé !
Si on laisse de côté les sans-doute inévitables commentaires de folie, il me semble, tout de même, que le droit écrit est réformable.
Je suis bien d’accord avec François Delpla. En ma qualité de fondateur du réseau des élus locaux issus de l’immigration (60 villes représentées) je me range à son point de vue. Si M. Delpla veut rejoindre notre réseau il lui suffit de prendre contact avec : dircas@cas-france.org
L’auteur de la note initiale a raison d’écrire « Il n’est que trop évident qu’on ne doit pas attendre de solution de fond de la part du Système ».
Est ce à dire que sa solution de fond, à lui, est celle de la guerre civile car n’oublions pas quand même que ces gens là sont français ? Le Pr Michel a écrit d’excellente choses sur le communautés. Les lire vous ferait du bien.
Je reste ahuri devant la cécité de certains ! Le jour où la France n’existera plus, ils continueront à parler de droit, de démocratie et de choses qui demandent, pour marcher, une adhésion. Or, nous, si nous refusons même de nommer les choses, comment pourrions-nous apporter la réponse adéquate ! Eh bien, braves gens bien comme il faut, démocrates, légalistes et tout et tout , vous allez rester sur le bord du chemin avec vos belles idées, car les Français ne vont plus se laisser faire ! Et si guerre civile il y a (car je pense qu’on y est) ce n’est pas notre faute.
Joël, tu déconnes ! C’est bien de vouloir recruter pour ton association. Mais recruter un Delpla, merci beaucoup!
Surtout que tu as bien compris le raisonnement du susdit: il existe une loi et il suffit de se réfugier derrière la loi pour que tout redevienne normal.
Or, ce qui est inadmissible c’est que la mère d’un délinquant puisse porter plainte contre la police car, avec les gauchistes qui ont infiltré la justice, on ne sait jamais…
Il faut effectivement durcir la législation contre les français « de papier » qui profitent de la faiblesse des libéraux au pouvoir.
Lamentable ton « n’oublions pas quand même que ces gens là sont français ». Dans un autre temps…. ils ne le resteront que s’il veulent obéir à nos lois. Ce n’est pas le cas pour la majorité d’entre eux.
Alors, du balais !
Un seul commentaire, mais d’importance : je parle de droit(s) et on déforme le propos en « loi ».
Existe-t-il aussi, un droit pour les peuples et pour les nations à préserver leurs grands équilibres, leur identité, qui doit vivre et s’enrichir à un rythme raisonnable, évitant, en tout cas, sa pure et simple dissolution ?
Je crains, comme le disait Boutang, qu’après tout, nous n’ayons droit à rien. Que ce ne soit pas vraiment affaire de droit. Mais de volonté historique.
De Gaulle pensait que nous devons rester ce que nous sommes : essentiellement un peuple blanc, de peuplement européen, de culture gréco-latine et de religion chrétienne.
Cette affirmation le traînerait aujourd’hui devant les tribunaux…
Que faut-il en penser ?
vous répondez sur « droit » en me donnant implicitement raison d’avoir protesté que des mal-voyants aient lu « loi »; mais avez-vous réfléchi au pourquoi de cette déformation ?
La loi est un texte à respecter certes tant qu’il existe, mais transitoire et discutable, le droit un ensemble de principes à appliquer le mieux possible, y compris lorsqu’ils ne sont pas, ou pas encore, traduits dans une loi.
Je ne sais pas s’il est très éclairant de parler du droit de la France à persister dans un certain état de croyances, civilisation etc. Elle sera ce qu’en feront ses habitants… et ils s’appuieront de toute évidence beaucoup sur ses traditions.
Mais elle n’est pas une île et dans ses traditions figurent en bonne place sa façon d’être au monde et son ouverture à celui-ci.
Je serais très intéressé par exemple de savoir ce que les islamophobes qui se pressent ici pensent du mariage homosexuel, ou simplement de la fin, vers 1968, du tabou de la virginité des filles. il y a là une évolution bien occidentale et, si j’ose dire, d’une certaine façon, « chrétienne », qui ne doit pas grand-chose aux imams des banlieues ! Vous inspire-t-elle les mêmes rages ? Si non, pourquoi ? Et si oui, pourquoi concentrer vos coups sur l’islam ?
Deux choses me gênent un peu dans ce que dit François Delpla.
1: il dit que « la France sera ce qu’en feront ses habitants », mais le Pays Légal, en 30 ans, a fait entrer une masse déraisonnable d’étrangers, qui plus est très deséquilibrée: l’Afrique y est sur-représentée, jusqu’à la caricature : si on voulait faire rater l’intégration/assimilation, on ne s’y prendrait pas autrement. Dans ces conditions, parler des « habitants » de la France me parait être une forme d’imposture : on a modifié radicalement la composition du peuple français, et on lui dit « maintenant tu es comme ça, tu dois t’y faire, un point c’est tout… »
2: il dit que « les islamophobes.. se pressent ici » (sur le Blog). Cela me fait furieusement penser à la police de la pensée -unique, évidemment- qui sévit dès qu’on dit quelque chose. Cette façon de pousser le « cri qui tue » me surprend. Je trouve moi aussi qu’un braqueur multi-récidiviste récemment entré chez nous doit être déchu et expulsé. Qu’est-ce que l’islamophobie vient faire là-dedans ?…
Il y a déjà bien longtemps que des esprits à la fois visionnaires et lucides ont prévenu de ce qui arrive en France. Agissons et commençons par rétablir la peine de mort!!!!!
academos, maintenant que vous avez répondu à 2% de mon propos, passez à la suite ! Ou dois-je supposer que vous êtes d’accord ?
Moi, si j’étais Academos, je demanderais à François Delpla quelle est la suite qu’il attend et sur quoi il faudrait être d’accord avec lui.
Pour être comminatoire, il ne faut pas parler par énigme. Il faut être clair.
Mais je ne suis pas Academos.
Il y a donc des gens qui veulent sciemment islamiser la France dans l’espoir que les filles arriveront vierges au mariage !
Bon, mais sur certains sujets, dont ceux évoqués plus haut, il est vrai que les grandes religions traditionnelles disent toutes à peu près la même chose.
Elles valent mieux que le néant dit moderne.
Ce n’est évidemment pas une raison pour islamiser la France.
MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS a écrit (cf.supra)
« Les bamboulas et les bicots ont voulu l’ indépendance; ils l’ ont eue: alors hors de France! Au besoin, il faut les exécuter séance tenant sur les lieux de leurs méfaits ». Voilà le genre de propos qui trace une frontière entre ce qui relève d’un débat et ce qui mérite des sanctions … Je demande à chacun des contributeurs de se prononcer clairement sur ce propos.
Pour ma part, même si je crois me souvenir que « les camelots du roi sont des gens qui se foutent des lois » je suis résolument, en tant que responsable de réseaux implantés qans les banlieues, du côté de Delpla . Ces réseaux sont implantés dans une soixantaine de villes et patronnés par le le Partenariat Eurafricain.
Effectivement nous recrutons pour étayer et encadrer ces réseaux. La politique est pour beaucoup une une question d’alliance : avec qui est-il préférable de s’allier ? avec ceux qui modèlent l’avenir (par exemple certaines communautés) ou avec des franchouillards qui devraient pourtant craindre la guerre civile comme la peste, d’abord, c’est condamnable, ensuite ils la perdraient.
Demandez une documentation à : dircas@cas-france.fr
On vous recrutera !
Puisque le commentateur précédent y invite, voici quelques remarques :
1. Il est trop évident que les propos cités sont à rejeter, dans leur ton, leur style et leur fond. Ils sont simplement à la limite du ridicule, et, même, hors limite. C’est pourquoi l’appel de Broquet à condamnation et sanction me semble un peu facile. Ce genre d’excès, comme d’autres, ici-même, tombe dans le néant à la simple lecture. Ils ne font honneur ni à leurs auteurs ni à ce blog. Mais faut-il enfoncer des portes ouvertes ? Et Broquet est-il favorable à une censure ? Mon esprit la fait de lui-même.
2. Sur le fond, je ne crois pas critiquable de penser que des étrangers délinquants doivent être expulsés de notre territoire; et que des Français ayant aquis la nationalité française par naturalisation ou naissance sur notre sol de parents étrangers, puissent la perdre et être renvoyés du territoire national. Par exemple vers le pays de provenance. C’est, évidemment, le laxisme, sa mise en système, son étendue, sa fréquence, son organisation qui menancent l’ordre public et la paix civile.
3. Le parisianisme anti-franchouillard est de bon ton dans certains cercles. Il n’est pas forcément sympathique, ni censé. Il y a partout, quelle qu’en soit l’intension et la direction, du MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS qui sommeille …
4. Dans cet esprit, je ferai remarquer à Broquet, en toute simplicité, qu’il s’est permis d’écrire à des adultes, censés maintenir sur ce blog un dialogue raisonnable : « vous devriez lire le livre du professeur Untel, cela vous ferait du bien ». Croit-il que nous ne lisons jamais de livres de tel ou tel professeur Untel ? Ce genre de paternalisme – non violent, bien-sûr – n’est pourtant pas du meilleur goût. Et même davantage.
Broquet, permettez-moi de vous dire que je suis stupéfait de deux choses dans votre dernier commentaire:
1: « les franchouillards »; qu’est-ce que cela veut dire ? Vous demandez -et vous avez raison- qu’on reste correct et courtois, dans les commentaires, qu’on ne se laisse pas aller à l’excès, toujours condamnable. Tout à fait d’accord. Mais, aussitôt après, vous vous moquez. Je ne dirais pas que « franchouillard » est vraiment une insulte, mais je suis heurté par ce terme. Serait-ce à dire que je suis « franchouillard » parce que je bous quand je vois un « jeune » arrivé « hier » tirer à balles réélles sur la police parce qu’un pote à lui s’est fait tuer en braquant une banque ?
2: vous parlez de « guerre civile », et vous dites qu’ils la perdraient (les franchouillards). Mais qui veut la guerre, qui la fait et qui la met dans les banlieues ? Et, pour qu’elle soit civile, encore faudrait-il que nous soyons de la même citoyenneté, nous, les français par filiation et ces ces « jeunes », qui ont un petit rectangle de plastique dans la poche, mais à qui s’applique parfaitement la parole du père de Foucauld: « sans avoir l’esprit ni le coeur français ».