Au moment où « L’Espagne en crise se retourne contre ses immigrés » (titre du Figaro); où le parti anti-immigration, présent dans deux villes seulement, arrive en tête et deuxième, aux Pays-Bas; où des rondes de citoyens sont organisées en Italie pour lutter contre la violence, dont l’augmentation exponentielle -à tort ou a raison- est imputée aux immigrés… s’imagine-t-on, dans les hautes sphères du Pays légal qu’avec un français sur dix au chômage les tensions ne vont pas finir par apparaître en France aussi, entre les nationaux et la quinzaine de millions d’immigrés dont la classe politique a follement et inconsciemment organisé la venue ?
Tant que les problèmes restaient à un certain seuil, la pensée unique, le conformisme ambiant, le politiquement correct et – surtout… -le bourrage de crâne massif, et permanent pouvaient maintenir une sorte de statu quo. Mais, n’en doutons pas: le très léger vernis imposé par la censure bobo/gaucho/trotsko sautera dès que le seuil vraiment critique sera atteint…
Qui a dit: Gouverner, c’est prévoir ?… Aujourd’hui la Hollande, l’Espagne, l’Italie… Demain ?…
Marc Vergier sur 2024 : Le taureau par la…
“Cher Pierre Builly, vos remarques sont toujours les bienvenues. Je ne garde pas la même impression…”