Comme nous le disions dans cette note – mais nous l’avions aussi écrit dix fois auparavant… – la violence, dans notre pays, connaît une explosion exponentielle. Mais il ne s’agit pas seulement, plus seulement, de cela : on voit bien qu’à cette différence de degré, par rapport à « avant », s’ajoute, depuis pas mal de temps maintenant, une différence de nature de la délinquance.
Quartier de Grenoble où a eu lieu la fusillade entre braqueurs et policiers
Si Zemmour a provoqué un tollé, il y a peu, par sa déclaration sur telle ou telle catégorie(s) de personnes davantage contrôlées par la police parce qu’on y trouve davantage de délinquants, c’est tout simplement parce qu’il avait vu juste, et qu’il disait la vérité que tout le monde voit autour de soi : il y a bel et bien une sur-délinquance évidente d’origine africaine. Et dans des proportions parfois effarantes (dans telle prison d’une grande ville du Sud est, 85% des détenus sont d’une certaine confession, qui n’est pas, dirons-nous, « celle de nos pères »…)
Revenons à l’affaire de Grenoble : un braqueur multi-récidiviste tué par la police, sa mère portant plainte et ses potes menaçant de mort les policiers de la Bac. Une seule constatation : on n’est plus dans le cadre de la violence traditionnelle, si l’on peut dire, celle des malfrats de toutes les époques, qui a toujours existé et qui existera toujours, au moins à un taux minimum incompressible, et qu’il sera impossible à tout gouvernement, quel qu’il soit, de faire disparaître complètement.
Non, on est en présence d’autre chose. On est en présence de communautés, repliées sur elles-mêmes – y compris linguistiquement et culturellement, assez souvent… il suffit de voir ces dizaines de milliers d’antennes paraboliques… – avec lesquelles nous autres, les français par filiation, n’avons pas toujours (doux euphémisme !…) les mêmes codes vestimentaires ou alimentaires, pas toujours les mêmes moeurs, les mêmes fêtes et traditions, et ne disons rien de la religion.
Certes, et nous le savons bien, il n’est que trop certain qu’il y a plusieurs types de situations différentes dans ce qu’il est convenu d’appeler « l’immigration ». Et nous savons très bien qu’il y a, et ils sont nombreux, toutes celles et tous ceux qui se tiennent bien et ne posent pas de problèmes. Nous n’avons jamais voulu parler de ceux-là, et n’avons jamais généralisé à l’ensemble des immigrés les problèmes que posaient celles et ceux, parmi eux, qui refusaient et de s’assimiler et, même, de simplement s’intégrer. Mais qui venaient ici avec armes et bagages, moeurs et coutumes, religion etc… provoquant là où ils arrivaient une « substitution de population », pour reprendre l’expression fort juste de Michèle Tribalat.
…..II…..
C’est uniquement en parlant de ceux-là – mais qui sont nombreux, eux aussi – qui se tiennent mal, et qui posent problème, que nous avons dit, et que nous redisons ici – et nous le redirons aussi souvent que necéssaire – qu’avec eux le temps n’est plus à gérer une situation, mais à régler un problème de fond.
A savoir que, pour des gens qui refusent à l’évidence nos lois, nos moeurs, nos coutumes, notre société etc… et qui, en plus, se conduisent d’une façon violente, la réponse ne peut pas être celle que l’on apporte traditionnellement à la délinquance ordinaire (tribunaux et prisons…) mais une réponse extra ordinaire adaptée à une situation elle aussi extra ordinaire, et devenue ingérable en l’état, parce que ne relevant plus des moyens habituels des sociétés en la matière.
…..III…..
C’est pour ce type de personnes que nous disons que nos textes de lois doivent être durcis à l’extrême, afin de permettre la déchéance d’une nationalité dont elles montrent à l’évidence, par leur(s) comportement(s) délictueux, qu’elles ne sont pas dignes. Une déchéance débouchant, évidemment, sur l’expulsion sans délai du territoire national.
Les « contrats »mis sur la tête des policiers de la Bac de Grenoble sont là pour démontrer qu’au point où les choses en sont arrivées, il n’y a pas d’autre(s) solution(s)……….
…..IV…..
Pour ce qui est de la fin, nul ne sait quand, ni comment…….
La première des mesures d’urgence qui s’impose est la suppression du droit du sol ; il est intolérable que des gens qui ne peuvent ni ne veulent s’intégrer à notre pays puissent avoir des enfants français automatiquement du simple fait qu’ils sont nés en France ; cela ne résoudra pas les problèmes actuels mais cela empêchera l’amplification du problème pour l’avenir…
Merci Ariane Plantevin pour votre analyse.Toutefois,n’oublions pas et jamais que ce sont les Français de l’époque,socialistes S.F.I.O,qui ont fait voter la loi sur le droit du sol.Toujours faire voter des lois scélérates pour gagner des électeurs!