Mais qui sont-ils, ces prétendus experts, auto proclamés, vivant « à cent lieues des réalités », et membres d’un comité (!) composé de « gens qui viennent de pays qui ne respectent absolument pas les droits de l’Homme« (Dominique Paillé). Le député UMP du Nord, Christian Vanneste, les a remis à leur place sur France Info, en exprimant ce qui est la vérité vraie : la « constitution même » de ce comité « le rend suspect« :
« Tous les pays qui en font partie ne sont pas des exemples de démocratie vivante ni des exemples du respect des minorités: l’Algérie, la Russie, la Roumanie, qui traitent très mal les Roms chez eux – il faut voir dans quel état ils sont lorsqu’ils viennent chez nous…- le Pakistan et la Turquie…. » (on sait comment elle a traité les Arméniens !).
La vérité est pourtant fort simple, et les déclarations ahurissantes de tels ou tels dont les pays se comportent assez souvent – à l’intérieur – comme des sauvages, n’y changent rien.
Ce qui se passe, aujourd’hui en France, ne relève pas du racisme, ni de l’anti racisme, qui est la grande mystification du siècle (tout le monde sait cela, depuis les analyses de Finkielkraut…), mais de quelque chose de beaucoup plus simple.
On a une alliance et une collusion de deux volontés : celle des révolutionnaires trotskystes, qui manipulent les migrations pour dissoudre et diluer les vieilles nations historiques, qui résistent encore et toujours à leurs schémas utopistes; et les noyer sous des flots ininterrompus d’immigrés, aboutissant à une « substitution de peuplement »(Michèle Tribalat). Et celle de tous ceux qui veulent une main d’oeuvre à bon marché.
N’en déplaise aux pseudos experts de pseudos comités onusiens, ce qu’il est urgent de faire ce n’est pas de dénoncer un racisme imaginaire; mais de dénoncer cette supercherie et démasquer les tartuffes, en démontant l’alliance de ces deux volontés, également mortifères dans leur(s) résultat(s) pour la personnalité historique de la France .
Voilà pourquoi nous refusons les faux débats ou les oukases que voudraient nous imposer les divers comités Théodule – qu’ils soient de l’ONU ou d’ailleurs… – et souhaitons placer le problème sur son vrai terrain. En dénonçant, pour les refuser, toutes les délocalisations, génératrices de recul social, de bas salaires et de précarité; mais aussi de déstabilisation des sociétés européennes…
L’esclavage ayant été aboli en France, ceux qui ne se plaisent pas chez nous peuvent et doivent partir.
Afin de leurs éviter des dépenses inutiles, ils doivent rester chez eux,