Après notre note de samedi, on a pu lire les trois commentaires postés par Catoneo, Ariane et Anatole. Si Catoneo semble partager l’esprit de la note, Ariane et Anatole préfèrent s’en tenir à une sage prudence; attendre et voir, en quelque sorte…..
Or, ce même samedi, François d’Orcival publiait dans Le Figaro Magazine le billet que nous reproduisons ci-après.
Il y rappelle que ce n’est pas la première fois que les juges désavouent carrément et frontalement le travail de la police. Il a pu s’agir, parfois, d’épisodes à la limite du comique, voire du burlesque, comme pour cette affaire des clandestins de Bonifacio arrêtés par la police et libérés presque le jour-même par les juges. Nous avions alors – pour garder le moral !… – publié le dessin suivant :
Mais, parfois, ce fut beaucoup plus grave…..
Comme pour ce réseau de trafiquants de drogue, démantelé après un immense travail de plus de quatre années. Après des recherches difficiles, et dangereuses, l’ensemble de la procédure a été annulée, et l’ensemble de la bande remise en liberté.
Et, surtout, cet épisode plus récent dont parle d’Orcival dans son article : ces « jeunes » libérés après une agression caracterisée contre les forces de l’ordre, et quittant le Palais de Justice (?) hilares, criant, goguenards, « Merci, la France », avant d’aller se faire acclamer comme des caïds dans leurs cités…..
L’épisode d’Uriage doit donc être resitué dans ce contexte, et ce n’est donc pas en pensant et en réagissant à ce seul évènement (« difficilement compréhensible », a-t-il été dit au plus haut niveau…) que notre note a été rédigée…..
Et un court résumé de la suite des réactions :
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”