Merci à Catherine, qui nous envoie ce document, tout à fait inattendu ! Et de saison, puisqu’on vient d’entrer dans le temps de l’Avent…
Nous parlons beaucoup de nos racines dans ce Blog, et bien sûr de nos racines chrétiennes. Pendant quelques instants, et d’une façon tout à fait surprenantes, grâce à Catherine, écoutons-les !….
Remarquable idée. A diffuser et développer pour rappeler que Noël n’est ni une fête païenne ni républicaine.
Je suppose que c’était aux Etats Unis ou au moins dans un pays anglophone aux regards des enseignes.
Décidément, les américains ont des leçons à redonner à la vieille Europe, surtout en ce qui concerne le respect humain, qui est devenu notre défaut social.
Entre la Campagne d’affichage et radiophonique « Catholique revenez à la maison » et ce témoignage musical, oui, ils mènent le Bon combat, Un combat gai et joyeux qui donne envie de rester à la maison et surtout d’y revenir pour ceux qui sont partis en se rappelant que ce qui attira le plus les paîens il y a 2000 ans c’était de voir l’amour, la joie, la gentillesse qui existaient dans les communautés Chrétiennes et leur détermination à s’unir à la Croix du Christ quand celui-ci les appelaient à la souffrance.
Soyons donc « collés » à la Croix dans la Joie et la souffrance, n’ayons pas peur,
agissons d’abord sur nous en reprenant l’étude appronfondie de notre cathéchisme, la méditation et le Chapelet et surtout la pratique régulière des exercices de la Passion (méditation régulière d’une station au moins par jour du Chemin de Croix, litanies de la Passion pour ceux qui peuvent afin que Jésus rentre totalement en notre esprit après s’être donné à nous dans la Ste Eucharistie dominicale ou journalière) , cela pour fourbir nos armes à son service qui sont l’Exemple d’une bonne vie chrétienne et le Verbe; par l’exemple nous « forçons » notre prochain à s’interroger sur notre manière c’être, Par le Verbe, nous pouvons répondre aux questions qu’il se pose sur la Religion Catholique et l’Eglise notre mère.
et surtout sourions dans la voie de la sainteté qui est forcément toujours un peu ou beaucoup souffrante en union avec la Croix car ainsi que le disait un saint dont j’ai oublié le nom ‘Un saint triste est un triste saint ».