Si c’est un rituel obligé, il n’est pas déplaisant : c’est parce que les liens qui nous unissent ne sont pas feints, mais au contraire bien réels et bien vivants, que l’on a plaisir, en ce moment de l’année, à se tourner vers toutes celles et tous ceux qui nous sont proches puisque, avec eux, nous voulons les mêmes choses, et nous ne voulons pas les mêmes choses : Eadem velle, eadem nolle, ea est vera amicitia…..
A ses lecteurs et amis – dans toute la France et jusque dans des pays lointains… –lafautearousseau redit donc son attachement et sa sympathie, en leur souhaitant – à la façon provençale d’un Mistral, d’un Maurras, d’un Daudet… – Bono anado, bèn granado e acoumpagnado….
Qu’ils soient tous bien persuadés que nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour prolonger et amplifier au maximum la dynamique de progression de notre Blog, qui est extrêmement encourageante et prometteuse : l’ouverture de notre Site, et deux ou trois initiatives que vous découvrirez dans les mois qui viennent, seront à cet égard des étapes importantes…. Merci à toutes celles et tous ceux qui, en lisant ce Blog, en le faisant connaître autour d’eux, en postant des commentaires, en envoyant des listes de noms etc… font vivre ce Blog – qui est aussi, évidemment, le leur… – et favorisent son développement…
Nous le disons et le répétons assez souvent : nous ne sommes pas des idéologues, et nos idées s’incarnent dans un Prince, dans une Famille qui sert la France depuis 1.000 ans. Dans notre dernier Grand Texte (dernier en date, mais, rassurez-vous, certainement pas dernier tout court…), Vladimir Volkoff développait une très belle et très profonde réflexion sur la Royauté :
« …Le roi détient le sceptre pesant d’aujourd’hui ; le prince dessine sur le sable avec la badine de demain. Le roi se collette avec le réel ; le prince effeuille la gamme des possibles. Le roi, c’est ce qui se passe après que le roman est fini ; le prince, c’est le roman lui-même. Le roi, c’est midi, le prince, c’est l’aurore. Le roi est le roi de ce qui est ; le prince est le prince de ce qui devient. Et, puisque le roi administre et protège un territoire tandis que le prince poursuit un apprentissage, le roi est le roi de l’espace et le prince est le prince du temps…. »
Nous ne pouvons qu’être heureux, et confortés dans nos Espérances, de voir le Prince Jean de plus en plus présent, de plus en plus actif, de plus en plus écouté, mais aussi, et peut-être même surtout, de plus en plus à l’aise dans ce rôle – pas toujours facile… – qui est le sien.
A la publication de son livre, il avait delivré un message « à ses amis » : « …Qu’ils le considèrent à la fois comme un aboutissement et comme le premier acte d’une nouvelle étape ». Tout récemment, il faisait savoir qu’il souhaitait « lutter contre les facteurs de désagrégation sociale ».
Notre rôle est donc très simple, et notre tâche tracée d’avance pour l’année qui s’ouvre et pour les mois qui viennent : il ne s’agit pas de se contenter de voeux pieux et de phrases de circonstance, ni de demander les choses, mais d’agir concrétement, chacun à son niveau et selon ses possiblités, pour qu’elles arrivent. Au quotidien, suivre le Prince et l’entourer, en oeuvrant tous, et de toutes nos forces, à fédérer les énergies autour de lui, pour le succès de son action.
En ce qui nous concerne, nous pour qui « Autour du Prince Jean ! » est devenu, depuis longtemps, comme un cri de ralliement, notre résolution est prise de ne pas faillir à cette tâche.
