Mardi 18 janvier 2011. La Provence s’indigne (c’est à la mode, en ce moment, de s’indigner, chez les Bobos…), et elle consacre sa Une, sa 2 et sa 3 aux conditions effroyables dans lesquelles vivent des populations fraîchement débarquées chez nous (essentiellement des Roms).
Afin que tout soit bien clair, disons, avant même de commencer, que ce que dénonce La Provence est effectivement ignoble et indigne – et même répugnant, le mot n’est pas trop fort… – et qu’il est scandaleux que des choses pareilles puissent se passer dans un pays réputé civilisé, comme le nôtre. Le problème n’est évidemment pas là….
Le problème, il est chez ces gens, et dans cette mentalité, et cette « mode », et cette manipulation etc… qui consiste à se faire les chantres d’un déplacement mondial des populations, alors même que l’on n’a pas de conditions de vie décentes à proposer à ces gens qu’on laisse venir chez nous (au premier plan desquelles le logement et le travail). Et de leur mentir, en leur promettant des lendemains qui chantent, alors que c’est la misère qui est au bout du chemin, et le sordide qui les attend; et alors que le bon sens le plus élémentaire dit qu’il faut aider ces malheureux chez eux, plutôt que d’ajouter un mal supplémentaire (le déracinement) aux maux dont ils souffrent déjà….
Et, là, La Provence est à fond dans ce mouvement, dont elle est totalement partie prenante. Et, après, elle vient s’étonner – et même s’indigner !… – des conséquences d’une situation effectivement ignoble, mais dont elle fait semblant de ne pas voir qu’elle a elle-même contribuée à la créér ! Et des conséquences desquelles elle doit être tenue, volens nolens, pour solidairement responsable….
Qu’est-ce qu’on à pris, comme titre ? « Inconséquence » ? Qu’est-ce qu’on est polis !…..
PS : dans le même numéro, La Provence revient sur l’affaire qu’elle avait annoncé la veille : un commando – non encore identifié – a attaqué un camp de Roms. Là aussi, tout le monde l’a dit cent fois : cette politique insensée, qui consiste à faire venir des flots ininterrompus de pauvres hères à qui l’on n’a, en réalité, rien à offrir, finit par exaspérer et créer des tensions multiples. « Ca finira mal », dit Jaco, le perroquet du Conte de Jacques Bainville. En est-on aux prémices de violences épuvantables, avec cette « affaire » de Marseille ? Des violences évidemmment condamnables, mais dont les responnsables premiers seront les idéologues, qui auront sciemment et volontairement créés les circonstances qui font arriver des catastrophes.. par pure idéologie.
et si les journaleux de laProvence allaient quelques fois dans la campagne, ils découvriraient également des conditions delogement digne du XIX è siècle et là ce sont des retraités paysans qui onttravaillé dur touteleurviepour pas grand chose.
En FRANCE (enfin ce qu’il en reste) on passe son temp a faire des lois que personne ne fait appliquer. ô tempoira ô mores, nous devenons de plus en plus décadents, comme Rome ( sans jeux de mots) naguère.
Les Rom et les immigrés doivent être ramenés de là où ils viennent.Tout le reste n’est que littérature.Nous n’aurons pas d’accueil lorsque et c’est du peu,on nous chassera de notre Patrie!!!!!!!