Le compte rendu de la conférence du prince Jean de france sur « Le management capétien »
Il y avait foule, vendredi soir dans l’amphithéâtre de la salle de la rue Albert de Lapparent à Paris pour suivre la conférence du prince Jean de France sur un sujet inédit « Le management Capétien ».
Le thème paraissait audacieux et le public venu nombreux s’intérrogeait sur la nature de cette conférence. L’héritier de la Maison de France prit la parole sur un ton assuré et clair et donna tout de suite le ton du débat en comparant la France a une entreprise.
Le duc de Vendôme rappela la naissance de la dynastie Capétienne en 987 et dira notamment avec humour « la Maison Capétienne de père en fils depuis 987 ». Le prince a développé non sans malice les points communs entre l’entreprise France et une entreprise classique. Après avoir développé son sujet, le duc de Vendôme a été remercié par de chaleureux applaudissements. La parole fut donnée au public enthousiaste et heureux de poser des questions à l’héritier de nos rois.
Le duc de Vendôme a répondu aux questions avec franchise et lucidité. Un débat s’installa très vite entre le public et le prince sur la France, les hommes politiques actuels, la gestion, ses expériences au sein du monde de la banque. Il a aussi évoqué son grand-père, la gestion de ses forêts, la vision capétienne en politique, la crise Belge et bien d’autres sujets encore. Ce qui était une conférence est devenu une conversation a bâtons rompus entre des Français et celui qui pourrait incarner le pays aux yeux de l’histoire. Cette conférence était une première et le prince nous a fait part de ses projets pour l’avenir.
Le duc de Vendôme sera à Pau fin mars pour donner une conférence sur ce thème à la Chambre de commerce et d’industrie. Le prince Jean se révèle être un orateur et semble plus décidé que jamais à construire sa vie autour d’un idéal français. Puisse le projet Capétien se poursuivre… avec le prince Jean. Le duc de Vendôme poursuit l’œuvre des Capétiens.
Marc Vergier sur 2024 : Le taureau par la…
“Cher Pierre Builly, vos remarques sont toujours les bienvenues. Je ne garde pas la même impression…”