En ce qui concerne l’immigration, nous recevons régulièrement des messages qui, pour être tous très différents les uns des autres, posent en réalité tous le même problème et qui, même avec des formulations parfois très éloignées les unes des autres, en reviennent toujours à la même question centrale : comment en est-on arrivé là, que proposez-vous, que faire pour « en sortir »… ?
Pour essayer de répondre, non pas à tout le monde à la fois et d’un seul coup – c’est « mission impossible »… – mais, peut-être et au moins en partie, à l’essentiel des préoccupations de celles et ceux qui écrivent, nous allons tâcher de proposer ici un rapide survol qui s’efforcera d’abord de résumer la situation dans ses grandes lignes, et par redire, pour commencer, comment on en est arrivé là; puis nous évoquerons les remèdes dérisoires que propose le Pays Légal pour règler (?) des problèmes qu’il a lui-même, tel un apprenti sorcier, follement créés; ensuite, nous reprendrons ce que nous avons déjà écrit ici-même, à savoir qu’une des solutions pour « en sortir » pourrait être de mener ce que l’on pourrait appeler une politique des trois tiers ; et, pour ceux qui seraient sceptiques, on lira, comme une sorte de conclusion provisoire, l’opinion de Michel de Jaeghere…
Nos lecteurs pourront évidemment poursuivre le débat, en continuant à écrire ou en postant des commentaires; ils pourront aussi se référer à notre PDF « Contre la France métisse… » :
https://www.jesuisfrancais.blog//list/documents/conference_contre_la_france_metisse___pdf.html
Aujourd’hui ……..(2/4) : Faut-il mettre les « abrutis » en prison ? Ou : les remèdes dérisoires que propose le Pays Légal pour lutter contre les problèmes qu’il a lui-même créés…
Le mot « abruti » va en surprendre plus d’un(e), et demande une explication. La voici: nous ne faisons que reprendre l’expression de Madame le Procureur du Parquet de Toulouse, à qui nous en laissons, évidemment, l’entière responsabilité. Le 3 janvier 2009, cette personnalité importante du Pays Légal a déclaré, en parlant du brûleur de voiture Lofti El Majjouti qu’il ne fallait pas laisser des « abrutis faire n’importe quoi… »
Et il se trouve que Madame la représentante du Parquet de Toulouse n’a pas été reprise ni tancée par qui que ce soit…..
Mais commençons par rappeler de quoi il s’agit. Tout a été raconté dans les journaux locaux du 3 Janvier 2009:
« Un « jeune » Toulousain de vingt ans, reconnu coupable de l’incendie d’une voiture la nuit du Nouvel An, a été condamné le vendredi 2 janvier à six mois d’emprisonnement, avec mandat de dépôt immédiat, par le Tribunal correctionnel de Toulouse. Lofti El Majjouti avait été arrêté quelques minutes après l’incendie d’une Peugeot 205, peu après 06h00 le 1er janvier, dans le quartier périphérique des Arènes à Toulouse. Son interpellation, à proximité du lieu du sinistre, s’était faite à la suite du témoignage d’un couple, dont une femme gendarme, qui n’était pas en service.
La représentante du parquet avait requis « de l’ordre d’un an ferme » d’emprisonnement avec mandat de dépôt à l’encontre du jeune homme, qualifiant d’ « inadmissible » le fait que « des abrutis se livrent par provocation à des actes aussi graves que l’incendie de véhicules, en principe passible d’un maximum de dix ans d’emprisonnement, pour le plaisir de se faire remarquer ». Elle a rappelé « le triste record de 1.147 voitures brûlées à l’occasion du Jour de l’An » en France. Un total de 40 voitures ont été brûlées en Haute-Garonne la nuit du 31 décembre au 1er janvier, dont 35 à Toulouse et son agglomération. »
Fin de citation (1). Maintenant, un rapide commentaire…
Notons tout d’abord que ce fut peut-être la première fois qu’un membre éminent de l’établissement, du Pays Légal, a employé, sans être ni reprise ni sanctionnée, un mot aussi fort, crevant pour une fois le mur du silence du conformisme ambiant; l’un des diktat majeurs du politiquement correct….
Pourtant, à la différence de Madame le Procureur, nous ne pensons pas, quant à nous, qu’il faille s’engager dans la voie de l’emprisonnement, comme semble le faire la justice du Système. Il nous semble que, la situation étant devenue ce qu’elle est, à savoir tout simplement intolérable, il ne s’agit plus de gérer simplement cette délinquance de masse, qui explose littéralement sous nos yeux d’une façon exponentielle.
Il faut au contraire tâcher par tous les moyens de régler vraiment ce problème au fond, afin d’en venir à bout. Ce qui ne pourra se faire qu’avec des mesures beaucoup plus hardies, et surtout beaucoup plus radicales, qu’un emprisonnement de six mois par ci, par là, ou que quelques noms d’oiseaux …..
Etant donné l’ampleur du mal, il ne s’agit pas, il ne s’agit plus, selon nous, d’emprisonner des délinquants mais de déchoir d’une nationalité française des gens qui, sitôt qu’on les en a gratifiés, montrent à l’évidence qu’ils n’en sont pas dignes. Et, une fois déchus, les expulser sans délai du territoire national sur lequel leur présence ne nous paraît vraiment pas s’imposer, si c’est pour y faire ce qu’ils y font.
Et, de toutes façons – Camus ne disait-il pas qu’une Sociét se juge à l’état de ses prisons ?… – vu l’état lamentable de nos Maisons d’arrêt et autres Centrales, leur délabrement d’ensemble – malgré quelques prisons nouvelles qui cachent un peu la forêt… – et leur surpopulation récurrente, il semble bien impossible d’y mettre tous les fauteurs de troubles, vu l’augmentation exponentielle de la délinquance !…
(à suivre…)
(1) : Les mêmes causes produisant les mêmes effets, une autre personnalité a employé le même mot d’ « abrutis », dans des circonstances différentes, certes, mais relevant toujours d’une délinquance pure et simple. C’était un an après, les propos ont été tenus par un capitaine des pompiers, et le tout a été rapporté par Le Midi Libre (Édition du samedi 27 février 2010):
Montpellier : Les pompiers agressés au moment du sauvetage
« En vingt-cinq ans, je n’ai jamais vu ça. Je ne comprends pas cette réaction d’abruti », réagit le capitaine Nicolas, qui a coordonné les secours. Quand les pompiers sont arrivés, ils ont reçu des canettes, des insultes. Pire : lorsqu’un soldat du feu s’est retrouvé en difficulté alors qu’il était en train de sauver l’une des victimes, l’un de ses collègues a volé à son secours en allant chercher une échelle. Et quand il est arrivé, l’invraisemblable s’est produit : « J’ai pris deux coups de poing derrière la tête alors que j’avais l’échelle en main, les insultes pleuvaient. Si j’étais tombé au sol, la victime y restait et mon collègue aussi », peste-t-il. Il a néanmoins réussi son opération de sauvetage. Et a déposé plainte, hier.
Dans ce climat tendu, une quinzaine de policiers ont été appelés en renfort. En fait, des individus ont reproché la lenteur des secours : « Ils ont mis trop longtemps à arriver et pendant qu’on essayait de sauver les victimes, ils restaient les bras croisés en attendant l’échelle. C’est normal qu’ils prennent des bouteilles », s’énerve un jeune. « On a eu l’appel à 0 h 18, on y était à 0 h 30. Les gens disent n’importe quoi », corrige le capitaine Nicolas. »
VERDU sur Éloquence : Tanguy à la tribune,…
“Il est bon !!”