En ce qui concerne l’immigration, nous recevons régulièrement des messages qui, pour être tous très différents les uns des autres, posent en réalité tous le même problème et qui, même avec des formulations parfois très éloignées les unes des autres, en reviennent toujours à la même question centrale : comment en est-on arrivé là, que proposez-vous, que faire pour « en sortir »… ?
Pour essayer de répondre, non pas à tout le monde à la fois et d’un seul coup – c’est « mission impossible »…- mais, peut-être et au moins en partie, à l’essentiel des préoccupations de celles et ceux qui écrivent, nous allons tâcher de proposer ici un rapide survol qui s’efforcera d’abord de résumer la situation dans ses grandes lignes, et par redire, pour commencer, comment on en est arrivé là; puis nous évoquerons les remèdes dérisoires que propose le Pays Légal pour règler (?) des problèmes qu’il a lui-même, tel un apprenti sorcier, follement créés; ensuite, nous reprendrons ce que nous avons déjà écrit ici-même, à savoir qu’une des solutions pour « en sortir » pourrait être de mener ce que l’on pourrait appeler une politique des trois tiers ; et, pour ceux qui seraient sceptiques, on lira, comme une sorte de conclusion provisoire, l’opinion de Michel de Jaeghere…
Nos lecteurs pourront évidemment poursuivre le débat, en continuant à écrire ou en postant des commentaires; ils pourront aussi se référer à notre PDF « Contre la France métisse… » :
https://www.jesuisfrancais.blog//list/documents/conference_contre_la_france_metisse___pdf.html
Aujourd’hui …(3/4) : Une solution pour « en sortir » ? : peut-être, tout simplement, commencer par reconnaître les trois grandes sortes de comportement, parmi les populations fraichement arrivées, et adopter envers elle une attitude en conséquence….
Cette politique insensée, qui a donc fait entrer en France entre dix et quinze millions d’étrangers depuis 1975, est peut-être légale, mais elle ne nous paraît pas légitime, car sur un sujet aussi fondamental que la constitution physique du Peuple, celui-ci aurait dû être consulté.
Maintenant que le mal est fait, il faut sortir de cette impasse, peut être mortelle, dans laquelle la République idéologique, le Système, nous a engagé; il faut donc bien imaginer des solutions, et formuler des propositions pour en sortir.
Mais pourquoi ne pas partir des faits eux-mêmes, dans une démarche pragmatique et empirique ? Pourquoi ne pas partir, pour commencer, de la simple constatation des faits et, en reconnaissant les comportements différents, adapter l’attitude à employer envers chacun en fonction, précisément, du comportement de chacun ? Une règle des trois tiers, en quelque sorte, dictée non par des a priori mais par les nouveaux arrivants eux-mêmes, à travers leur(s) comportement(s), la notion de tiers n’étant évidemment pas à prendre dans un sens trop rigoureux ni trop mathématique…
1. Il est, de toute évidence, très facile de distinguer un premier tiers d’immigrés et/ou de naturalisés récents, fort peu recommandables, et posant de réels problèmes en terme de délinquance, de criminalité ou de comportements condamnables en tous genres. Tous ces tristes sires dont les journaux relatent régulièrement les tristes exploits. Ceux qui, très jeunes et sans travail fixe et régulier, roulent en BMW, c’est à dire, en réalité, vivent de trafics en tous genre, de la drogue aux armes, dont ils tirent de très juteux revenus…. Ceux qui jettent depuis les toits des boules de pétanque ou des projectiles divers, de préférence bien lourds, sur les policiers ou les pompiers…. Ceux qui sont impliqués dans les multiples trafics d’une économie souterraine et parallèle (armes, extorsion, prostitution, fraudes en tous genres et surtout en gros… ). Bref, les violents en tous genres, dont les journaux ne cessent de relater les « exploits » : qui « brûlent » une fille qui les repousse, qui attaquent au couteau un professeur (femme de préférence, c’est moins risqué !…), qui mettent le feu à un bus, qui torturent à mort un jeune en fonction de ses origines etc…etc…
Il y a des centaines de bandes recensées (ethniques ou non, la liste n’est pas limitative !…), et ils sont très nombreux, trop nombreux, tous ces gens à qui l’on a octroyé une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent à l’évidence qu’ils ne sont pas dignes. Leurs membres sont tous des délinquants, qu’il est inutile de mettre en prison : il faut les déchoir de la nationalité française, que le Pays légal leur a follement – et très imprudemment, très inconsidérément – octroyée, sans que le Peuple Français n’ait jamais été consulté à ce sujet. Puis il faut les expulser, sans délai et pour toujours, du territoire national….
2. Il est de toute évidence très facile de distinguer, aussi, un deuxième tiers d’immigrés et/ou de naturalisés récents, qu’on pourrait appeler, en quelque sorte, et si l’on faisait une comparaison avec le monde scolaire, des personnes mal orientées. Qui sont venues en Europe ou en France poussées par la pauvreté, souvent afin d’aider la partie de leur famille restée au pays, alors qu’en réalité il aurait bien mieux valu les aider chez eux. Et ne pas ajouter à leurs problèmes déjà si lourds le poids supplémentaire d’un déracinement traumatisant. Déplacer la misère, ce n’est pas l’éradiquer, et la solution la plus raisonnable est de la traiter sur place…
Notons d’ailleurs que ces immigrés-là sont bien souvent mal traités, mal reçus, mal logés, mal payés… par un Pays Légal, qui se gargarise d’un anti racisme de mots mais qui laisse allègrement se pratiquer un odieux traitement differencié de fait… Complices et victimes à la fois des mafias de passeurs, et de la fraction véreuse d’un certain patronat, ces immigrés sont en effet souvent exploités – donc victimes – mais en même temps complices, car – volens, nolens – ils participent évidemment, au premier chef, à cette précarisation de l’ensemble de l’économie française à laquelle nous assistons: prolifération des emplois intermittents, CDD, sous-payés, précaires, aux conditions d’hygiène et de sécurité souvent sacrifiées… Pourquoi se gêner, puisque l’on a un inépuisable réservoir de main d’oeuvre à bon marché ? Cap sur les pires heures du XIXème siècle ! En guise de progès social c’est plutôt le Grand bond en arrière !…
Lorsqu’un gouvernement uniquement préoccupé du Bien Commun se décidera enfin à assainir l’économie française, cet assainissement à l’intérieur passera – entre autre – par une vigoureuse politique d’association à l’extérieur, avec les pays d’Afrique, dont les besoins sont immenses. A ce moment-là, les immigrés économiques pourraient très bien, au final, préférer rentrer au pays, soutenus par une vériatble aide au retour, si la France et l’Europe lançaient un vaste programme de co-développement de l’Afrique : une coopération sur un strict plan d’égalité, profitant également aux deux parties, permettant à la France (et à l’Europe) d’être la chance de l’Afrique, et à l’Afrique d’être la chance de la France (et de l’Europe), pour reprendre la forte image de Léopold Senghor…. On aurait alors des chances d’échanger le perdant/perdant actuel pour un gagnant/gagnant….
3. Enfin, il est de toute évidence très facile aussi de distinguer un troisième tiers d’immigrés et/ou de naturalisés récents, qui – eux – pourraient effectivement être intégrés et/ou assimilés. Car, en plus d’avoir un comportement correct, ils sont venus en France avec de bonnes intentions, poussés par des motivations positives et une réelle estime pour notre pays. Bien sûr, comme tout immigrant, ils doivent accepter les moeurs et les lois de leur nouveau pays; reprendre à leur compte l’héritage national et les Valeurs qui le fondent. Mais ceci est le lot commun de tout immigrant, n’importe où dans le monde.
Il ne faut pas se le cacher – à nous – ni leur mentir – à eux – : ceux qui éprouveront le plus de difficultés seront ceux qui viennent de l’Islam, qu’ils soient originaires d’un pays d’Afrique du Nord ou d’Afrique noire; car ils devront renoncer explicitementà un certain nombre d’us et coutumes (polygamie, excision, mariages forcés, crimes d’honneur, obligations alimentaires ou vestimentaires… ); ils devront accepter l’égalité de la femme par rapport à l’homme, accepter la distinction du temporel et du spirituel, renoncer à la charia, accepter qu’un musulman puisse changer de religion etc….
Mais remarquons, au passsage, que ces personnes, à priori de bonne volonté, seront puissamment aidées dans leur entreprise d’intégration et/ou d’assimilation si l’on ramène le niveau de l’immigration à des proportions raisonnables.
Et si l’on ramène le niveau de la délinquance à son minimum incompressible. Aujourd’hui, les actes délictueux atteignent des taux records et se développent de façon exponentielle, mais on sait très bien qu’il y a une sur-délinquance liée à l’immigration; et que cette sur-délinquance atteint par endroits des niveaux extrêmement importants. D’où une généralisation et un amalgame toujours possible, dans une opinion publique saturée et fatiguée de ces violences, entre – pour faire court – ceux qui se tiennent mal et tous les autres qui, eux, se tiennent bien.
Alors que si l’on expulsait sans faiblesse les délinquants, celles et ceux qui justement font tout ce qu’ils peuvent pour s’intégrer ne verraient plus leurs efforts risquer d’être remis en cause par la faute de ces délinquants, et de la mauvaise image qu’ils projettent, à tort et injustement, sur l’ensemble des immigrés, qui ne méritent pas cela….. (à suivre…).
VERDU sur Éloquence : Tanguy à la tribune,…
“Il est bon !!”