Dans Valeurs actuelles du 31 mars 2011, Philippe Barthelet a choisi de rendre hommage à ce « moderne » que fut Bainville, « Cassandre stoïcien », « guidé par une curiosité universelle », dont l’oeuvre est d’une « remarquable cohérence ».
C’est bien évidemment la publication par Christophe Dickès de son ouvrage, La Monarchie des Lettres, Histoire, Politique & Littérature qui est à l’origine de ce nouvel article élogieux, dans lequel la plupart des facettes de cet immense auteur sont mentionnées, le titre de l’article étant, à lui seul, un hommage dans l’hommage : Bainville, ou la lucidité française.
(1) : Jacques Bainville, La monarchie des lettres, Histoire, Politique & Littérature, 1152 pages, 30 euros
Philippe Barthelet rappelle ainsi, pour ne prendre qu’un seul exemple, comment Bainville, alors qu’il occupait la place que l’on sait dans L’Action française, accepta une mission officieuse en Russie, confiée par le gouvernement alors dirigé par Aristide Briand, adversaire politique s’il en fut de L’AF.
Bainville en revint, entre autres, avec Comment est née la révolution russe.
Ce fait, qui sera une révélation pour beaucoup, montre amplement combien fut grande, jusques et y compris en dehors des milieux royalistes, l’influence de Bainville, en particulier, mais, plus généralement, celle de Maurras et de l’école de pensée que représenta, à cette époque, L’Action française.
Pour lire le texte de Philippe Barthelet :
http://www.valeursactuelles.com/histoire/actualités/bainville-ou-lucidité-française20110501.html
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