On en parle beaucoup dans ce Blog, du désastre de la politique menée par le Ministère de la des-Éducation nationale. Werner Zettelmeier, chargé de recherches au Centre d’information et de recherche sur l’Allemagne contemporaine (Cirac), de l’université de Cergy-Pontoise, en explique « la » raison : « En France, le cursus scolaire reste la voie royale. En Allemagne, c’est l’apprentissage »
Voilà, tout est dit. Et voilà – ce n’est qu’un exemple entre mille… – ceux qu’il faudrait aider :
http://lycee-electrique.blog.lemonde.fr/2011/05/10/une-petite-heure-de-gloire-pour-lenseignement-technique/#xtor=RSS-3208
Pourquoi en sommes-nous là, en France ? Puisqu’on le sait, puisqu’on le dit ? C’est très simple : parce que deux entités le veulent ainsi, n’ayant aucun intérêt à ce que les choses changent.
1. Au sommet de l’Etat, les idéologues (voir notre note sur le Collège unique : Réformer le Collège unique.pdf ) puisque, par définition, un idéologue ne regarde pas les faits (c’est trop vulgaire, c’est trop bas, c’est trop mesquin, les faits…. pour leurs brillantes intelligences, broyeuses de jeunesse et de talent, par millions….)
2. A la base, les syndicats qui, eux aussi iédologues, sont en plus favorables à cette idéologie pour une deuxième raison : ils gèrent ou, au pire pour eux, co-gèrent ces gigantesques moyens prélevés sur la richesse nationale et l’investissement productif (les syndicats reconnaissent qu’il y a 30.000 equivalents temps plein en décharges de tous ordres, évidemment confiées à leurs adhérents; et pour faire quoi ? est-ils eulement utile d eposer la question ?… On peut d’ailleurs supposer, s’ils en admettent 30.000, qu’il y en a beaucoup plus…
Eh, oui, c’est sordide. Ca se passe comme ça, pas seulement chez Mac Donald, mais aussi dans le Ministère de la des-Education nationale.
Et c’est bien sûr la France qui en fait les frais…..
Cincinnatus sur Une initiative papale qui, curieusement, arrive…
“Nous ne sommes pas capables en France d’une révolution de velours, nous sommes incapables de faire…”