Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d’ailleurs, il faut aller à l’essentiel …
du (bon) sens et des fondamentaux … un choix de civilisation !
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Ivan RIOUFOL Journaliste PS : derrière l’imposteur, le cancre Manuel Valls, candidat à la primaire socialiste et proche de …
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Roland HUREAUX Essayiste La singularité des marchés agricoles appelle la régulation Avec raison, la France a mis à l’ordre du jour du G20 …
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Béatrice BOURGES Présidente de l’Association pour la Protection de l’enfance Retour de la famille au gouvernement Le collectif pour l’enfant satisfait mais vigilant.
Christophe GEFFROY Journaliste L’imposture du gender Nous avons appris fin mai que la théorie du gender …
Extrait du Geffroy, L’imposture du gender :
« Cette théorie du gender est l’aboutissement de la folle revendication de notre postmodernité d’une totale autonomie de l’homme qui refuse ce qui s’impose à lui sans qu’il l’ait choisi, allant maintenant jusqu’à façonner lui-même son propre genre, masculin, féminin, bi ou trans ! Outre la religion, bien sûr, qui enseigne l’existence d’un Dieu au-dessus de l’homme, le grand ennemi du gender est la notion de nature : un ordre créé implique en effet une finalité (ce pour quoi on est fait), de même que reconnaître une nature commune à tout homme – qui fonde sa dignité d’être raisonnable – suppose qu’il n’est pas libre de faire tout ce qu’il veut : il est ici limité par la loi naturelle qui s’impose à lui. On voit bien, derrière cette folle évolution, les revendications d’une volonté détachée de toute morale objective qui ne recherche qu’à faire accepter par la société toute pratique qu’elle juge légitime à tel moment. Et, en démocratie relativiste, il suffit d’une majorité pour avaliser n’importe quoi : hier l’avortement (puisque le petit être que l’on tue ne partage pas notre nature humaine qui n’existe pas), aujourd’hui l’union homosexuelle, demain l’euthanasie et, pourquoi pas, la polygamie si une majorité en est d’accord.
Au nom de l’égalitarisme hérité du marxisme, on confond égalité et identité, comme si deux êtres ne pouvaient pas être ontologiquement égaux et cependant différents, complémentaires. La dialectique mise en branle par le gender, à l’instar du marxisme, s’appuie sur la haine et le rejet de l’autre, jugé opprimant car différent. C’est une porte ouverte vers une société inhumaine, vers un totalitarisme effrayant, car il détruit l’homme d’une façon apparemment « douce » mais en réalité très violente en le ramenant au rang d’un vulgaire animal qui ne connaît aucune limite à son propre pouvoir de destruction, brisant tous les interdits les plus structurants – bases d’une civilisation digne de ce nom – ne pouvant que mener à un nihilisme absolu permettant toutes les transgressions…. »
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”