(On sait depuis longtemps qu’en 2012 se passeront pas mal d’évènements : l’élection présidentielle, les Jeux Olympiques, le soixantième anniversaire de la mort de Maurras et… le cinquantième de l’indépendance de l’Algérie…)
Dans le Bulletin Eglise de Metz du mois de Juin, l’évêque de Metz, Mgr Raffin, a relaté sa dernière viste en Algérie, et plus particulièrement, à Oran. Propageant la vision des choses qui est la sienne – après tout, il a le droit d’être irénique… – il a cependant employé une expression dont le moins que l’on puisse dire est qu’elle est fort malheureuse; une de ces formules qu’il vaudrait toujours mieux ne jamais avoir prononcée, ni écrite : « A la fin de la guerre d’Algérie, alors que la majorité des chrétiens et de leurs pasteurs firent le choix de quitter le pays pour s’installer en France… »
Cette phrase malencontreuse lui a valu la réponse suivante de Danielle Pfister-Lopez :
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”