…pour deux articles parus dans le même jour, dans la même Page Idées du Figaro (samedi 3 / dimanche 4 septembre ), n° 20.866.
Le premier – intitulé Ce qui ne peut plus durer au PS – est du Philosophe Yves Roucaute, qui s’interroge sur « notre » PS des vieilles lunes; le second – L’avenir des humanités – est du philosophe Jean-François Pradeau, qui veut sortir les langues anciennes du « giron confiné des options de second rang » (on notera, au passage, qu’il ne parle évidemment pas de langues mortes, comme certains ignares, mais bien de langues anciennes, ce qui est tout à fait autre chose…)
(extrait, on trouvera ci-après les deux liens pour lire l’intégralité de l’article) :
« …D’ailleurs, le Tartuffe Harlem Désir le sait bien : ce sont ses amis d’extrême-gauche qui inventèrent le fascisme avec le socialiste Mussolini, numéro 2 du Parti socialiste italien, le national-socialisme avec Hitler, leader du Parti ouvrier allemand, tout autant que le goulag et le laogai. Il faut avoir le verbe plus fin que le nez pour oublier qu’en France même le parti nazi a été construit par Jacques Doriot, n° 2 du Parti communiste, et le parti fasciste par Jacques Déat, député socialiste. Et pour oublier que celui qui alnça le Front national s’appelle François Mitterand…. »
(extrait, comme pour le Roucaute, on aura ci-dessous le lien pour lire l’intégralité de l’article) :
« ….Commençons par une définition. Les humanités, ce sont les savoirs de l’Antiquité : le grec et le latin, ou bien encore, plus localement, la connaissance de la philosophie ancienne, de la mythologie ancienne ou de la science ancienne. Mais des savoirs rapportés au temps présent, puisqu’ils sont cultivés dans le cadre d’un rapport à soi, d’une formation de soi: on les acquiert avec la conviction qu’ils sont indispensables à la formation de l’honnête homme et que l’on peut en faire quelque chose de bien aujourd’hui. Pour les individus, pour la société et aussi bien pour les entreprises… »
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”