….et ce Lorant Deutsch confirme celui qu’on connaît bien, maintenant :
A la question d’un journaliste (Nathalie Saint-Cricq, pour être précis), Quels sont vos projets ? qui suit un long développement sur le succès de son Métronome (un million cent mille exemplaires vendus !…), il répond, sans hésiter :
« Je suis en train d’écrire un nouveau livre sur les routes et les différentes voies de communication de France. Jusqu’au XVIIIème siècle, d’un village à l’autre, c’est à peine si on parlait la même langue, si on se connaissait. Grâce aux routes, les Français se sont découverts les uns les autres, le pays a commencé à s’unifier… »
Si c’est de la même veine, et dans le même style, que Métronome, cela promet. Pourtant, le plus important n’est pas là. Il vient avec la question suivante, Y a-t-il un rôle dont vous rêvez ?
Et, là, on se régale de la réponse :
« Le rôle du Général Charette, héros de la Guerre de Vendée. J’écris en ce moment ce scénario sur les chouans avec Pierre Péan. Ce serait pour la télévision mais, si elle nous ferme ses portes pour des raisons budgétaires, car les films en costume n’ont plus droit de cité et on prend les téléspectateurs pour des abrutis, nous irons au cinéma. C’est un personnage romantique, héroïque. Quand on l’a fusillé, il a refusé qu’on lui bande les yeux. Napoléon l’admirait à tel point que, quand il croisait la veuve Charette qui s’était remariée, il la toisait en lui disant : « Quand on a le nom d’un héros, on le garde ! ». Sa devise était : « Combattu, souvent, battu, parfois, abattu, jamais. » Ce sera le rôle de ma vie.
« Notre patrie à nous, c’est nos villages, nos autels, nos tombeaux, tout ce que nos pères ont aimé avant nous. Notre patrie, c’est notre Foi, notre terre, notre Roi… Mais leur patrie à eux, qu’est-ce que c’est ? Vous le comprenez, vous ?… Ils l’ont dans le cerveau; nous l’avons sous les pieds… Il est vieux comme le diable, le monde qu’ils disent nouveau et qu’ils veulent fonder dans l’absence de Dieu…
On nous dit que nous sommes les suppôts des vieilles superstitions; faut rire ! Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de la fidélité ! Et cette jeunesse veut préserver pour elle et pour ses fils, la créance humaine, la liberté de l’homme intérieur ».
Aller faire un tour sur mon site de genealogie inscrit sur Geneanet « Genealogie du Haut Bocage Vendeen ». Pour attraper mon arbre, taper Gouyette dans la recherche puis « lbrachetgouyette ». Tout mon amour pour la Vendée est là, mon Honneur pour mes ancêtres morts dans la lutte contre le totalitarisme republicain, mon respect pour la Grande Armée Catholique et Royale, ses generaux (Lescure, Bonchamps, Cathelineau, Etc) et Charette de la Contrie. Je recommande également pour ceux qui ne le connaitraient pas encore le CD de Didier Barbelivien : Vendée 93.
Royaliste de naissance et fière de l’être.
Je me demande si le prince Jean se rend compte de la chance qu’il a de compter Lorànt Deutsch parmi ses soutiens…
(A EHLB) Nous n’avons pas à répondre à sa place ni en son nom, mais nous pouvons vous assurer que nous savons, de source sûre, que le Prince apprécie Lorant Deutsch, et se rend parfaitement compte, comme vous dites, « de la chance qu’il a »; Lorant Deutsch était invité, et il est venu, avec son épouse au mariage du Prince en 2009….