Ainsi donc, les Députés français condamnent le négationnisme, en ce qui concerne le Génocide arménien perpétré en 1915.
Fort bien.
On louera notre Pays légal pour son zèle à traquer l’horreur, à dénoncer la barbarie, à flétrir l’innommable…. Sauf que…..
…..Sauf que, jusqu’à preuve du contraire, ce même Pays légal, si prompt à dénoncer chez les autres, semble assez bigleux en ce qui le concerne. N’est-il pas assis sur des fondements idéologiques clairement revendiqués qui ont, eux les premiers – nous parlons pour l’époque moderne et contemporaine… – pratiqué la Terreur et le Génocide sur une grande échelle ?
Et cela sans jamais avoir exprimé le moindre regret, la moindre repentance – comme on dit aujourd’hui…: pire que cela, le Pays légal a gravé sur la pierre d’un des plus grandioses monuments de notre ville Capitale les noms de deux généraux bourreaux/exterminateurs du peuple vendéen, les sanglants Turreau et Amey; ainsi que le nom de celui qui a ordonné et planifié le Génocide vendéen : le grand – par son savoir – et sinistre – par ses actes – Lazare Carnot…
Alors quand on vient nous dire que les Députés français condamnent le négationnisme en ce qui concerne le Génocide arménien, si on osait – osons-le… – on dirait, comme Coluche, « Je me marre !… »
Voilà une excellente émission où M. Gugliotta réussi en quelques minutes à faire passer tous les messages essentiel (vis-àvis des élections; institutions; comparaison entre la nature des pouvoirs; un ni droite ni gauche qui n’empêche pas l’action …). Didactique et accessible aux gens qui comme moi ne sont pas agrégé de droit, d’histoire. De la « propagande » efficace. MC
Interdit sur l’holocauste et bientôt peut-être sur le génocide arménien, le « révisionnisme » est en revanche admis sans problème lorsqu’il s’agit de nier ou de relativiser le génocide vendéen, ou encore de discuter du chiffre des victimes du stalinisme .
C’est également en référence à la Vendée que l’historien Jean-Clément Martin déclare : « Ce n’est pas un progrès de remplacer des visions idéologisées de l’histoire par d’autres (…) Notre histoire n’est pas à juger avec des valeurs simplistes et démagogiques, mais à assumer dans sa complexité et dans son foisonnement (…) Il n’y a pas de progrès historique sans révision régulière des connaissances et nouvelles mises à l’épreuve ».
J’ajoute qu’il n’est pas interdit en France de nier l’existence de Dieu.
A quand une pétition pour dénoncer le génocide vendéen ?