Comme le dit si bien La Varende, « …le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon ».
Reçu du CRAF (Centre Royaliste d’Action Française) ce compte-rendu de l’hommage aux victimes du 6 février 34….
« …Nous nous sommes retrouvés par grand froid ce lundi 6 février sur le pont de la concorde à une quarantaine environ.
L’ensemble des cadres parisiens étaient là ainsi que des militants étudiants. Le prince Sixte de Bourbon Parme (ci-dessous, avec Perceval), sans qu’on l’ait sollicité s’est joint à nous, ayant appris que nous organisions cette petite cérémonie.
Nous avions 17 fleurs de lys, pour rappeler les 17 victimes de la répression policière qui s’est violemment abattue sur les patriotes en colère contre le système de corruption républicaine.
Marc Savina , notre historien , rappela les circonstances des événements du 6 février 34 avec le talent qu’on lui connait.
Le prince Sixte prononça aussi quelques mots.
Puis encadré par des drapeaux Français, le responsable des étudiants d’Action Française, Antoine Desonay, procéda à l’appel des patriotes assassinés , à chaque nom l’ensemble des militants sur place crièrent » présent » et une fleur de lys était jetée dans la Seine. Cérémonie émouvante, conclue par la Royale. »
VERDU sur Éloquence : Tanguy à la tribune,…
“Il est bon !!”