On avait eu le « casse-toi, pôvre con », le « sale mec » : Eva Joly a du se dire qu’elle n’allait pas assez vite dans le mur, et qu’il était urgent de se rattapper : voilà qui est fait, et avec quel raffinement !
Elle n’a rien trouvé de mieux, en visite à Marseille, que de parler de ceux qui sont, pourtant, théoriquement ses amis – les Verts, qui ne la soutiennent pas assez : ce sont, excusez du peu, des « pisse-vinaigre » et des « casse-couilles » (sic, en « Joly » dans le texte).
Et encore, ça c’est pour ses potes, les Verts : les autres, les pauvres, ils n’ont pas encore été « nommés », comme on dit dans la Bible : aïe, aïe, aïe, pour eux….
Pauvre Pays légal, minable de chez minable, comme on dit aujourd’hui dans le jargon; et de plus minable en plus minable…..
Pas la peine, pour les membres du Pays légal : ils l’ont trouvé tout seuls..
Au risque de vous décevoir, mon cher webmestre, je suis, une fois n’est pas coutume, d’accord avec Eva Joly pour l’abandon du langage « politiquement correct » qui caractérise trop souvent nos hommes politiques, tous formatés au moule de l’ENA.
De plus, « casse-couilles et pisse-vinaigre » caractérisent tout à fait le miltant « vert » de base.
Celà rappelle les paroles de « la Royal »: hommes petits qui criez de grands mots…
un univers pitoyable