Maintenant que la vague de grand froid s’éloigne, il est peut-être temps de faire remarquer deux ou trois choses à la clique écolo/cromagno-néanderthalienne….
D’abord, qu’elle a été remarquablement discrète, durant cette vague de froid, sur la façon dont, avec bonheur, finalement, la France a pu la traverser : 100.500 mégawatts ont été consommés au moment du pic de consommation, sans que cela n’entraîne autre chose qu’une inquiétude – réelle, certes – mais surmontée dans les faits : la capacité, et la qualité du réseau français a permis de passer le cap…
Mais un réseau de quoi ? D’éoliennes (ces monstres pour lesquelles on coule pour toujours des milliers de tonnes de béton dans la terre, aux quatre coins de l’Hexagone (comme dirait l’autre…) ? Allons donc ! On aurait eu bonne mine, avec les éoliennes, si on n’avait eu ces centrales nucléaires qui, quoi qu’on dise, sont la moins mauvaise solution, même si elles ne sont pas la solution parfaite, et même si elles ne sont pas dépourvues d’inconvénients…
Même l’Allemagne a remis en marche, d’urgence, trois centrales nucléaires ! Elle qui pollue allègrement le ciel européen avec ses centrales thermiques utilisant son charbon, particulièrement « sale »…..
Cette vague de grand froid devrait amener la clique écolo à se poser la question (qu’en tout cas, nous, nous lui posons) : les réalités sont-elles Duflot/compatibles ? Ou écolo/compatibles, comme on voudra….
« Le nucléaire » n’est certainement pas exempt, on l’a dit, d’inconvénients : raison de plus pour développer la recherche en ce domaine, afin de trouver des solutions aux problème des déchets, afin de construire des réacteurs toujours plus performants.
Mais le silence assourdissant des écolos pendant cette vague de froid en dit long : les rêveries bucolico-enfantines de Cécile Duflot – genre la série « Martine… »… – sont peut-être valables par beau temps, quand tout va bien, qu’il n’y a aucun problème, que le bateau ne tangue pas etc… etc… Bref, quand il fait plus 30, dehors, on peut rêver les yeux ouverts. Mais dès qu’il fait moins quinze, moins vingt, moins vingt-cinq, et surtout si ça dure, alors là les rêveries fondent, on aimerait dire comme neige au soleil…
Et Cécile reste coite : elle n’est pas Napoléon, loin s’en faut, mais comme lui, elle s’est cassé les dents sur le général hiver…..
Déjà en décembre 2010, lors du sommet de COPENHAGUE, nous avons subi une vague de froid sans précédent, le vendredi 17 avec plus de 30cms de neige dans la partie nord de la France..
les écolos auraient-ls la scoumoune où alors leurs discours sont à côté de la plaque.
PS( pas leur complice), la délégation française s’était rendue au Danemark en train, devant les journalistes, et rentrée en avion , hors journalistes; révélé à l’époque par CANAL+
L’Europe se laisse imprégner par un totalitarisme écologiste qu’il faut pointer du doigt en le désignant comme ce qu’il est : une tentative de semer la peur aux fins d’obtenir la servitude et la mise en place d’une dictature qui, cette fois, ne s’établirait pas au nom d’une idée du « prolétariat », mais au nom d’une idée de la « nature « . On peut lutter contre le totalitarisme écologiste et commencer à l’ébrécher en montrant ce qu’il est et ce qu’il constitue: c’est à dire une imposture.