Nous l’avons dit cent fois (cela fera cent une…) : la possibilité de poster des « commentaires » est une force pour notre quotidien. Aujourd’hui Setadire réagit à l’annonce que nous faisons de « The war of the vendée ». Il fustige, à juste titre, le manque de courage des uns, la chape de plomb imposée par les autres…
Pourtant « ça bouge », nous le lui disons dans une réponse à son commentaire, et, comme on ne peut passer ni images, ni pdf, ni liens dans un commentaire, nous remettons carrément, ci-après, notre note du 3 octobre 2011…
lundi, 03 octobre 2011
« Ce sera le rôle de ma vie » : le Lorant Deutsch nouveau, c’est pour bientôt….
….et ce Lorant Deutsch confirme celui qu’on connaît bien, maintenant :
A la question d’un journaliste (Nathalie Saint-Cricq, pour être précis), Quels sont vos projets ? qui suit un long développement sur le succès de son Métronome (un million cent mille exemplaires vendus !…), il répond, sans hésiter :
« Je suis en train d’écrire un nouveau livre sur les routes et les différentes voies de communication de France. Jusqu’au XVIIIème siècle, d’un village à l’autre, c’est à peine si on parlait la même langue, si on se connaissait. Grâce aux routes, les Français se sont découverts les uns les autres, le pays a commencé à s’unifier… »
Si c’est de la même veine, et dans le même style, que Métronome, cela promet. Pourtant, le plus important n’est pas là. Il vient avec la question suivante, Y a-t-il un rôle dont vous rêvez ?
Et, là, on se régale de la réponse :
« Le rôle du Général Charette, héros de la Guerre de Vendée. J’écris en ce moment ce scénario sur les chouans avec Pierre Péan. Ce serait pour la télévision mais, si elle nous ferme ses portes pour des raisons budgétaires, car les films en costume n’ont plus droit de cité et on prend les téléspectateurs pour des abrutis, nous irons au cinéma. C’est un personnage romantique, héroïque. Quand on l’a fusillé, il a refusé qu’on lui bande les yeux. Napoléon l’admirait à tel point que, quand il croisait la veuve Charette qui s’était remariée, il la toisait en lui disant : « Quand on a le nom d’un héros, on le garde ! ». Sa devise était : « Combattu, souvent, battu, parfois, abattu, jamais. » Ce sera le rôle de ma vie.
« Notre patrie à nous, c’est nos villages, nos autels, nos tombeaux, tout ce que nos pères ont aimé avant nous. Notre patrie, c’est notre Foi, notre terre, notre Roi… Mais leur patrie à eux, qu’est-ce que c’est ? Vous le comprenez, vous ?… Ils l’ont dans le cerveau; nous l’avons sous les pieds… Il est vieux comme le diable, le monde qu’ils disent nouveau et qu’ils veulent fonder dans l’absence de Dieu…
On nous dit que nous sommes les suppôts des vieilles superstitions; faut rire ! Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de la fidélité ! Et cette jeunesse veut préserver pour elle et pour ses fils, la créance humaine, la liberté de l’homme intérieur ».
Henri sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“D’abord nous remercions chaleureusement le Prince Jean de ses vœux pour notre pays et de répondre…”