Il n’est pas mort en martyr, mais en délinquant, ce terroriste islamiste, cherchant jusqu’à la fin à tuer, et ne méritant que l’exécration….
Mention spéciale pour son avocat, qui s’est retranché lui-même de la communauté des gens sensés et raisonnables, des « gens de coeur », par ses propos indécents sur les forces de l’ordre qui n’auraient pas cherché à établir vraiment un dialogue lui permettant (à l’assassin) de sortir de cette logique : des propos ahurissants, littéralement honteux, qui disqualifient celui qui les tient : merci pour les victimes innocentes ! Inutile de se demander à quel courant politique et de pensée appartient ce « monsieur »…..
Cet avocat de comptoir, qui n’honore pas sa profession, devrait être radié du barreau.
Il faut applaudir le RAID et toutes les forces de l’ordre. Tous ces gens ont fait montre d’un courage typiquement bien de chez nous. A plusieurs centaines bardés d’armes il ont réussi à venir à bout d’un homme seul après seulement une trentaine d’heures. Oui on peut bomber le torse en saluant le drapeau. Et être fiers.
L’avocat n’a rien fait que son travail, comme le Raid d’ailleurs. Le message de Simone me fait sourire, en effet. Car il ne faut pas faire comme si nous étions toujours du côté des « forces de l’ordre ». Demain, les gens du Raid nous trufferont de balles si le pouvoir leur en donne l’ordre ; ne l’oublions pas. Il ne faut pas perdre de vue que nous sommes des réprouvés, et de manière bien plus fondamentale que les salafistes.
Les « forces de l’ordre » peuvent fort bien, en effet, faire leur travail avec courage, compétence et efficacité. Elles valent, pourtant, ce que vaut « l’ordre » au service duquel elles sont placées. Et nous savons ce qu’il en est de l’ordre prétendu qu’impose, aujourd’hui, à la socité française et, même, européenne, ce que nous appelons, pour résumer, « le Système ».
Face à celui-ci, nous sommes, en effet, des « réprouvés ». Mais, il me semble, que le mur qu’a édifié le système, pour sa défense et sa pérennité présente de plus en plus de lézardes et qu’elles sont de plus en plus profondes. Si nous savons les reconnaître et en jouer, notre champ d’action devrait s’en trouver sensiblement élargi …
La violence a souvent été mise au service de l’utopisme et de l’impossibilité de concilier des projets adossés à des valeurs divergentes.