Le 23 juillet, nous avons publié une note pour critiquer la déclaration de François Hollande sur la Rafle du Vel’d’Hiv : « Ce crime a été commis en France et par la France » (pour en prendre connaissance : « Ce sont des gens qui ne savent pas ce que c’est que d’être Français, l’honneur d’être Français et l’honneur de l’Histoire de France » )
Cette note a fait réagir, c’est le moins que l’on puisse dire : nous en sommes à 40 commentaires ! C’est un excellent signe de bonne santé et de vitalité pour lafautearousseau : ils ne sont pas si nombreux, les Blogs qui suscitent tant de discussions de leurs lecteurs entre eux…
Ayant dit ce que nous avions à dire, nous avons montré la guerre des deux François, au moyen de la vidéo dans laquelle François Mitterand s’exprimait, et qui permettait de voir François contre François, puisque François l’actuel prenait, aujourd’hui, l’exact contre-pieds de François d’hier sur cette affaire du Vel d’hiv…
Et hier, dimanche, dans l’un des commentaires, Jean-Louis Faure est revenu sur l’essentiel, le fond de l’affaire, d’une façon tout à fait pertinente et qui, à notre avis, clôt intelligemment le débat : le problème, aujourd’hui, n’est plus historique; les fautes et responsabilités du passé sont établies.
La vraie faute de François Hollande, c’est, aujourd’hui. de prêter la main à la démoralisation du peuple français aujourd’hui; parce qu’il reprend à son compte, avec la « puissance » qui est la sienne, le ressassement perpétuel et infini de la culpabilité française ad vitam eternam; parce qu’il prêche la repentance necéssaire – selon lui, s’entend, pas selon nous – de la Nation; parce qu’il contribue ainsi, par son action, à enfoncer un peu plus, en cette période de crise, le moral de la Nation qu’il a, théoriquement, la charge de représenter.
Bref, le « Président normal » porte un mauvais coup au pays, et là il ne s’agit plus d’Histoire, du passé, mais bien du présent; et il n’y a pas de quoi être fier.
Cela, Jean-Louis Faure l’a bien vu et bien senti, et il l’a exprimé très clairement :
« …Si le sujet n’était une sordide accusation contre notre pays, les envolées irresponsables d’un Chirac et d’un Hollande ne seraient que grotesques. Et le téléspectateur que je suis a bien compris que l’on accusait la France, loin de contorsions pour trouver où elle était réellement ! Et de ce que j’entends autour de moi, beaucoup d’authentiques vieux gaullistes et, juifs militant dans leur communauté, ont la nausée. »
Que ne feraient pas certains politiciens pour une poignée de voix en plus. C’est tellement simpliste que d’accuser la France, sans tenir compte des réalités de l’époque:une France vaincue,humiliée,occupée. C’est facile aujourd’hui pour un Président qui se veut …normal….
que de sombrer dans la démagogie primaire. Les Victimes, avec un grand V, méritent mieux que celà
Merci pour l’article !
Marie
Hollande – nom curieux pour un Président de la France- oublie un détail d’importance: Non seulement La France avait reçue la plus magnifique « branlée » de son Histoire – Merci le Front Populaire socialocommuniste et pacifiste – mais elle était sous la gestion du vainqueur en particulier pour la police et c’était l’Allemand qui donnait les ordres. Dans les questions juives il ne faut pas oublier l’O.G.I.F. (Organisation des Israëlites de France dont certains responsables auront des soucis à la « Libération ») et son rôle très délicat d’intermédiaire avec l’Occupant.
Hollande – vraiment bizarre ce nom pour un Président de la France- avec son affidé propriémaire de Nantes (et professeur d’allemand, quel horreur!) oublie que les politiciens, issus de la Chambre socialocommuniste et pacifiste, avant de fuir pour la plupart se réfugier dans des pays étrangers, refilèrent le « bâton merdeux » du pouvoir ruiné au Maréchal Pétain qui assuma face à un vainqueur redoutable et anti juif.
Hollande sans contrainte d’un ennemi visible enferme la France dans un nouveau Vel d’Hiv, parce qu’elle est la France, sans autre contrainte que son idéologie destructrice, servile mondialiste oubliant le vieil adage: »Un chien ne mord pas la main qui le nourrit ». Honte à ce renégat, honte à ce traître à son (?) pays. Comme l’aurait dit l’ancien Président du Souvenir Catholique en Languedoc: A VOMIR !
Peut-être vais-je me répéter mais ce ne sont pas là, bien au
contraire, les raisons pour lesquelles la France n’est pas
responsable de la rafle du Vel d’hiv; tout simplement les
donneurs d’ordre français n’étaient pas la France.
La force morale est un état d’esprit. Ce serait particulièrement long d’en décrire tous les ressorts. Un peuple courageux, héritier d’une Histoire riche en heurs et malheurs, n’a nul besoin d’un guide, encore que la constitution de 1958 fût souvent considérée comme une monarchie élective. Mais devant les défis immenses essentiellement générés par une technologie que nous nous maîtrisons plus, il serait d’autant plus indispensable d’être sûr de son passé, sans affabulation. Un historien russe du communisme, ex compagnon de Staline, réfugié à l’Ouest, le grand Boris Souvarine, avait coutume de dire « les Lumières progressent en raison inverse des conquêtes de l’électricité ! ». Tout est dit. Et c’est la grande surprise du tout réseau, et du tout télécoms, car aucun de ces outils ne combat l’ignorance … Quand elle éclate dans des discours de présidents de la République, on ne peut que considérer que l’on est profondément atteint. Le grand initiateur de cette contrition en peau de lapin fut sans conteste Chirac. Ses biographes nous ressassent qu’il est un digne descendant de Queuille. Celui-ci pouvait faire rire, la copie est sordide. Maniant une dialectique de marchand forain, nous sommes priés d’avaler que plus un pays se repent et traine son Histoire dans la boue, plus il est grand. Nous n’avons pas la même définition de la grandeur, et du culte que l’on doit au drapeau. Comme l’Histoire n’est plus enseignée qu’avec des images pour débiles légers, nos jeunes cervelles n’ont jamais entendu parler du commerce triangulaire, et sont donc persuadées que Nantes et Bordeaux furent des lieux de transits d’Africains destinés à l’esclavage. Dérive cultivée par ses successeurs jusqu’à une prestation odieuse du président normal. Malgré les contorsions niaises de quelques faux savants, heureusement peu nombreux, qui tentent des explications foireuses pour dire comment nous devons comprendre de violentes accusations.
Mais nous avons tort d’être inquiets car le ministre de l’Education nationale va réviser les programmes.
Si Hollande voulait effectivement mettre la France à genoux, comme on le dit, il ne si prendrait pas autrement.
Et lorsqu’on fait le tour de ses diverses décisions depuis qu’il est au pouvoir ( décisions économiques, sociétaires, militaires ), on tremble.
Non parce que Hollande aurait la stature d’un « Mauvais Génie » mais parce qu’il est porté par une équipe et une majorité médiatique aux ressorts ténébreux.