L’ ouverture du JT se fait évidemment, ce mardi soir, sur les « évènements » (!) de Toulouse et d’Amiens. Batailles de « bandes de jeunes » entre elles à Toulouse, bataille de « jeunes » contre la police à Amiens, parce que les « jeunes » avaient le sentiment » qu’un contrôle de police n’était pas justifié. Maintenant, les choses se passent comme cela, dans notre ex-douce France : il suffit qu’un « jeune », ou un « groupe de jeunes » « ait le sentiment que… » pour que tout un quartier s’enflamme, ou qu’un policier ait le visage démoli à coup de bouteille (agression exigeant tout de même, soit dit en passant, une « reconstruction faciale » : très sympas, ces « jeunes »…)
Bref, c’est dit dans le reportage par un gardien d’immeuble : « j’ai peur… les gens ont peur »; et, plus grave, dit après le journaliste : « la police a peur… »
Arrive un rappeur noir du quartier, qui donne la véritable explication, et parle d’or : « Personne y travaille ici… ça devait arriver… »
Et puis, le journaliste donne ce chiffre « le chômage atteint 57% dans cette Cité… »
Après des décennies de mensonge officiel et de bourrage de crâne permanent (« ils sont une chance pour la France », « ils viennent payer nos retraites », « ils font les travaux que les Français ne veulent pas faire »…) la vérité finit toujours par sortir du puits : « ils » viennent surtout pour chômer ici… Une variante de la chanson d’Aznavour en somme : si la misère est moins pénible au soleil, le cômage serait moins pénible en France ?
Eh, oui : on continue de faire entrer follement 230.000 étrangers en France chaque année (200.000 immigrants réguliers, plus 30.000 régularisations de clandestins); en plus des différences de « civilisation », moeurs, coutumes etc… ces nouveaux venus, à qui l’on n’a plus rien à offrir (logement, travail, formation, perspectives d’avenir..) ne vont pas se regrouper dans les beaux quartiers : ils vont s’entasser dans des banlieues degradées, où vont forcément prospérer tous les trafics, et qui sont devenues, inéluctablement, autant de bombes à retardements et de poudrières prêtes à sauter. Le Pays légal fait ainsi danser la France sur de multiples volcans…
Et l’on s’étonne : mais c’est cet étonnement qui est étonnant…
Résultat des courses, pour Amiens : 6 millions d’euros de dégâts, tout de même; c’est pas grave, c’est nous qu’on paye, et, pour le Pays légal, nos impôts sont extensibles à l’infini… Et six « interpellations », qui seront dehors incessamment sous peu, grâce à nos bons juges idéologues, et rentreront en héros dans leurs Cités, prêts et auréolés pour de nouveaux exploits…
Le jour où les Français en auront vraiment marre, même ceux qui n’en veulent pas aujourd’hui en voudront, demain, des mesures fortes qui s’imposent pour vider la France de ceux qui n’on rien à y faire….
Michel ROCARD parlait de la misère du monde, aujourd’hui c’est toute la délinquance et l’assistanat du monde que la république récupèrte.
La Republique rippoublikhaine est incapable d’apporter
quelque type de solution que ce soit a la libanisation de la France.
Cependant,il faut quand meme admettre que cette libanisation
se deroule tres progressivement (avec quelques à coups certes)
Nous avons un tres beau processus scientifique de defrancisation
Le transparti UMPS maçonnike est à la république
ce que le parti communiste etait a l’union sovietique.
De meme que l’église orthodoxe était une filiale du systeme,
l’eglise « conciliaire » de France a beaucoup aidé l’UMPS.
Sans ce soutien indefectible depuis 1962/1975,nous n’aurions pas eu la chance de gouter au debut de la diversité complete.
Nous sommes partis pour devoir écouter le baratin d’un grand communiquant. Aux dents très longues. Pour ceux qui s’en souviennent, cinq ans chez Jospin. A toutes fins utiles, la carrière du bonhomme :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Manuel_Valls
Il y a d’ailleurs une vraie filière jospinienne, Aquilino Morelle à l’Elysée, et l’apothéose, le retraité de l’île de Ré, à la tête du comité Théodule chargé de vérifier que les ministres ne piquent pas dans la caisse …
Et pour ceux qui veulent avoir une idée de la manière dont se fait l’intégration, un petit tour chez Auchan – Velizy, Gand Littoral – Marseille, Casino – Aix, Carrefour – Vénissieux. Tant que l’on ne se donne pas les moyens d’un pointage précis, on parle dans le vide, car on n’a pas la mesure exacte. Mais la perception est juste. Normal 1er ne va pas parader 5 ans sans un gros clash …
Outre le fait que Karim paie la retraite de Maurice…..L’auteur oublie un autre slogan ravageur… »On leur doit tant ! » Situation d’invasion unique dans l’histoire de France, pire que l’invasion allemande de la dernière guerre. Les collabos sont aux manettes depuis 40 ans ……40 années de collaboration assidue, cela mérite une médaille d’or au titre du suicide collectif !
J’ai lu, il y a peu, un avertissement sur la non-nécessité, la non -évidence qu’une Civilisation quelconque, aussi excellente soit-elle, aussi bonne pour tout un chacun qui la côtoie, puisse poursuivre son petit bonhomme de chemin, tranquillement, malgré certaines vicissitudes subies tout au long des années. Dieu a fait l’homme, pas les univers dans lesquels ils tente de vivre, Il n’a pas dit que telle ou telle famille, peuple, race, ethnie, peu importe le nom, pouvait se singulariser, se distinguer des autres, il a seulement demander de vivre en se respectant mutuellement.. Et si les sociétés conçues par l’homme explosent sous la poussée mercantile de quelques-uns ou implosent faute de volonté de construction, par manque d’inventivité, par une nonchalance dévastatrice, je me demande, ayant acquis un âge propice à poser ces multiples questions existentielles – bien que que je ne sois pas encore totalement sous l’emprise des « forces obscures », 🙂 – je me demande si Dieu, ayant déjà donné largement pour le salut des hommes, bien qu’infiniment bon, ne soit pas un tantinet ému par la lâcheté des ces humains, pour ne pas dire écœuré, et donc qu’il laisse courir.
Charon est lui aussi fatigué de ramer sur le Styx, on en arrive même à vouloir démonter Dante, comme on l’a fait de Louis XIV, Napoléon…
Je crois qu’il est trop tard pour réveiller les Grands Juges, et même si un aventureux homme public appelait le bon peuple comme l’avait fait le député Jean-Baptiste Baudin pendant les Trois Glorieuses, mort pour 25 francs, nul doute que cet hypothétique sauveur serait assez vite dézingué. D’une manière ou d’une autre.
Il est trop tard pour poser les bonnes questions et d’en tenter des solutions. L’immigration, sauvage et officielle, est d’une telle importance que rien ne peut la stopper, au mieux la ralentir. Et surtout pas un Anders Behring Breivik,par exemple, que l’on essaie de nous présenter comme l’archétypes de l’assassin solitaire sortant du moule de Lee Harvey Oswald, ou de Sirhan Sirhan et tant d’autres. Le problème pour les créateurs de mythes terroristes, est que, dans la plupart des cas, il y a certains indices évidents et crédibles portant à croire que ces individus n’ont pas pu agir seuls.
Un Anders Behring Breivik, franc-maçon (membre de la loge « St-Olaf aux Trois Colonnes » de la Grand loge de Norvège, ce que son Grand Maître, Ivar Skaar, a confirmé), et militant d’extrême droite qu’il est censé être mais qui n’a jamais caché son admiration pour Winston Churchill et la résistance anti-nazi. Curieusement, si l’on sait que les polices passent des temps énormes à surveiller de près les sites définis comme d’extrême droite, aidées en celà par les délateurs patentés émargeant peu ou prou à ces polices, on ne dit rien sur la manière d’enquêter sur cette maçonnerie. De même un fier combattant des islamistes fondamentaux nous est, peu ou prou, présenté comme un jeune homme qui a mal tourné. Rien que ça.
Il est trop tard car nous sommes sidérés, manipulés, jugés et condamnés; souvent par les mêmes Fouquier Tinville.
Un peuple qui n’a plus de mémoire mérite-t-il que l’on s’intéresse à lui ? Pas sur. A moins que quelqu’un se décide à réagir, une Mademoiselle Monk, par exemple, ou un obscur député qui, monté sur une barricade, mourut d’une belle balle entre les deux yeux pour quelques sous, une nouvelle Jeanne, un certain militaire…
Ne rêvons plus. Les cerveaux sont à un tel point de formatage que la seule issue, à moins de vouloir gouter aux geôles républicaines, est la passivité, chemin direct qui mène droit à une double dhimmitude qui déjà nous envahit.
On tue en plein jour pour une cigarette, on viole des gamines dans les trains et métro, on tire sur les forces de l’ordre aux armes de guerre et personne ne s »émeut, et tandis que le plus haut magistrat en même temps que le plus haut responsable de notre vie intérieur autant que nos armées daigne 2 mois après se souvenir de l’assassinat de deux jeunes femmes gendarmes, un condamné de droit commun, responsable mais pas coupable, s’en va porter la bonne parole oéuniène dans une nation souveraine, en dehors de toute considération morale ou géopolitique.
Croire en l’homme ? Ce matin, sur 40 000 votants, 80 % ne croyaient pas au discours de l’ahuri des cavernes concernant les problèmes de banlieues. Alors qu’ils ont voté pour lui il y a 3 mois.
J’ai donc cette espèce de curiosité qui me pousse à écrire que c’est la première fois au monde qu’une civilisation va disparaître, car elle disparaîtra, non pas par des évènements extra-terrestres ou autres, mais par la volonté express de ses penseurs, de ses cadres et , par contre-coup, de ses habitants. Complètement formatés et qui s’en foutent complètement.Elite qui, dans l’indifférence quasi générale, décide de se suicider, plus exactement de trucider son peuple sous la guillotine. Avec son parfait accord.
Non seulement, il n’y a plus de mémoire, sinon sélective, mais l’honneur a disparu, sauf au sein des coteries.
Au Japon, peuple de plus en plus rempli d’épiciers ayant oublié les Samouraïs, dans l’ile de Naura, à la fin de la guerre, 5000 soldats ont sauté du haut d’une falaise de 2/300 m, 30 par 30: ichi, ni, sa, chi, go !
Jusqu’à une certaine époque, les enfants et petits enfants venaient encore, en pleurant, se recueillr sur ces lieux de désespoir, où là aussi, tout était perdu, sauf l’honneur.
Aujourd’hui…
Mon dernier espoir, le Prince Jean à Paris, mieux, à Versailles.